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Chroniques du temps réel

par Justhom • le 10 février 2025
Où sont passés les brigands au grand cœur ?
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« La banque est un piège à comptes. »
Jacques Pater
Les brigands de grands chemins ont disparu, ceux qui détroussaient les riches, les bourgeois pour donner aux pauvres, faisaient la guerre aux collecteurs de taxes et s’attaquaient aux fermiers généraux. Ces bandits sociaux avaient le soutien des pauvres et des laissés pour compte. Ils fustigeaient les représentants de l’ordre, n’hésitaient pas à les affronter et à les ridiculiser. Ils n’avaient pas oublié leurs origines sociales.
Quand la loi opprime le peuple, les hors-la-loi se font justiciers
Cartouche
Louis Dominique Garthausen dit Cartouche, est né à Paris en 1693 et a été exécuté (roué) le 28 novembre 1721 en place de Grève. Il avait 28 ans.
La population lui vouait une grande estime. Il combattait les injustices et soutenait les pauvres. Il exécrait la corruption, volait les riches et redistribuait aux nécessiteux. Quelques faits d’arme...
- Il sauve du suicide un marchand ruiné par des prêteurs en payant ses créanciers qu’il vole ensuite.
- Une nuit, il s’empare d’une épée que le Régent comptait offrir. Il s’aperçoit qu’elle était factice, il la rend avec ce commentaire :« Au premier voleur du royaume qui a tenté de faire du tort à Cartouche, son confrère. »
- Lors d’un carnaval, avec ses comparses, ils promènent une charrette de mannequins représentant les forces de l’ordre afin de permettre aux badauds de les fouetter à volonté. Le ridicule ne tue pas mais permet d’assouvir ses ressentis.
- Les carrosses qui faisaient le trajet Versailles/Paris étaient régulièrement attaqués. Les bijouteries et les hôtels particuliers étaient visitées et pillées.
- Son coup fumeux a été la prise d’un million trois cent mille livres d’actions au système de Law en 1720.
La police est sur ses traces. En septembre 1719, trois complices sont arrêtés, ses frères sont pris et torturés. Lui-même sera arrêté en décembre 1720. Il réussit à s’évader le 16 mai 1721. Le Régent promet une récompense à qui permettra son arrestation. Il change de nom et se fait appeler : Jean Bourguignon.
Il sera trahi par Gruthus, un de ses complices. Avec huit de ses complices, ils seront arrêtés au petit matin dans le cabaret « Au Pistolet » (cela ne s’invente pas), à la Basse Coutille, le 14 octobre 1721. Emprisonné à Fort-l’Evêque, il tente de s’évader.
Repris, il est conduit pieds nus au Châtelet où il est enchaîné dans une cage. Le 21 octobre il est écroué à la conciergerie sur décision du parlement. Le 26 novembre il est condamné à mort en même temps que ses complices.
Il sera roué vif en place de Grève à Paris.
Marie-Louise Tromel
Marie-Louise Tromel dite Marion du Faouët, est née au Faouët le 6 mai 1717 dans le Morbihan et morte le 2 août 1755, pendue sur la place Saint Corentin à Quimper, à 38 ans.
A 23 ans elle est à la tête d’un groupe de plus de 40 brigands.
Elle est à la fois une icône féministe, un bandit social. Elle refuse et se bat contre le sort qui est fait aux pauvres et aux exclus.
Elle se marie secrètement à Henri Perzon, un petit noble de la région qui fait partie de la bande avec qui elle aura 4 filles. Ensuite elle aura un fils d’une autre union.
Elle écume la Bretagne pour voler les riches et redonner aux pauvres. Elle a mis au point une façon d’opérer très efficace. Elle observe les marchands sur les foires et repère ceux qui se remplissent les poches. A la fin des foires, quand ils repartent les poches pleines, elle les attaque. Les victimes sont dépouillées sans que le sang soit versé. Les voisins et les pauvres sont épargnés. La bande attaque également les étrangers à la région.
Seule Marion a le droit de disposer du butin et d’en effectuer la répartition. Elle n’amasse rien. Tout est dilapidé au jour le jour.
Marion est arrêtée pour la première fois avec quatre complices en 1746. Elle comparaît devant les juges d’Hennebont qui la condamnent a être fouettée nue et marquée au fer rouge de la lettre V comme voleur sur son épaule. La sentence sera exécutée sur la place publique à Rennes.
Elle sera également bannie de Bretagne. Elle ne la quittera pas pour autant. Elle retourne au Faouët. Ses compagnons sont condamnés à la pendaison. Elle perdra alors l’homme de sa vie, le 28 mars 1747.
Des compagnons sont toujours à ses côtés. A Auray, elle est arrêtée une seconde fois et s’évade de la prison de Quimper pour retourner au Faouët. Elle sera à nouveau arrêtée mais s’évade avant d’être emmenée en prison.
L’étau se resserre. Elle décide de s’exiler, la solitude lui pèse et elle a soif d’action. Mais loin de son territoire de ses bases elle n’a pas les mêmes repaires, les soutiens et complices, ni le même pouvoir. Elle sera arrêtée à Nantes en septembre 1754 où elle est reconnue par un habitant de Gourin, juste après que ses compagnons aient commandité le meurtre du recteur du Faouët.
Lors de son procès à Quimper, elle est condamnée à être pendue et étranglée jusqu’à ce que mort s’ensuive. Mais raffinement suprême, avant cela, elle doit être torturée pour donner des informations sur ses compagnons. Lorsqu’elle entre dans la chambre criminelle où se trouvent les juges, il y a le bourreau qui prépare les braises sur lesquelles on va la mettre. Elle aura les pieds et les jambes brûlés. Mais elle ne dira pas grand-chose qu’ils ne savaient déjà.
Louis Mandrin
Louis Mandrin, né le 11 février 1725 à Saint-Etienne-de-Saint-Geoirs dans le Dauphiné et mort le 26 mai 1755, supplicié et torturé, roué de coups à vif, étranglé sur la place des clercs à Valence à 30 ans. Il faisait trembler les nantis. Quant au peuple, il lui manifestait sa joie et le considérait comme un héros.
Sur son lit de mort, le maréchal Lowendal disait :« Pour sauver la France c’est un chef comme Mandrin qu’il nous faudrait. Louis Mandrin est un contrebandier, un justicier, un gentilhomme, un grand stratège. Le héros qui soulève une armée de fourches et de bâtons. Mandrin est le premier révolutionnaire en haillons, l’homme le plus populaire de France. »
Louis Mandrin organisait des réseaux de contrebande au nez et à la barbe des collecteurs d’impôts indirects. Il commandait des centaines d’hommes qu’il recrutait parfois en prison en les libérant devant des geôliers stupéfaits, à condition qu’ils ne soient « ni voleurs, ni assassins.»
Il achetait en Suisse et en Savoie des marchandises qu’il revendait à bas prix (sel, tabac, étoffe… ) dans les villes françaises sans qu’elles soient soumises aux taxes des fermiers généraux. Il reçoit rapidement le soutien de la population et d’une partie de l’aristocratie locale.
Pourchassé par les fermiers généraux, insatiables collecteurs d’impôts, Mandrin est capturé dans la nuit du 10 au 11 mai 1755, au château de Rochefort en Novalaise (Savoie) et emmené à Valence. Il subira la torture : les bras, les jambes, les cuisses et les reins furent rompus à vif. Il sera mis sur la roue, la face tournée vers le ciel pour y finir ses jours. Puis le juge ordonne au bourreau de l’étrangler. Son corps est accroché au gibet et exposé pendant trois jours.
De nombreuses personnes, telles des pèlerins accourent pour lui rendre un dernier hommage tant sa popularité s’était accrue. Le curé Jean-Baptiste Violer montre combien le peuple aimait le « capitaine des contrebandiers de France. » Il voyait dans son action de justicier un message politique. Il n’hésitait pas à critiquer les grands et à justifier l’action de Louis Mandrin : « Il a volé les puissants et a été puni alors que les puissants dépouillaient le peuple en toute impunité. »
Les autorités de l’Ancien régime le considéraient comme l’homme à abattre.
« Le code pénal est ce qui empêche les pauvres de voler les riches et le code civil ce qui permet aux riches de voler les pauvres. »
Emmanuel Carrère
Chez les brigands -anquiers, on ne vole pas les riches mais les pauvres, pour enrichir les riches. Ce sont des bandits sans foi ni loi « les banquiers» qui ont pris le relais. Ils ont pour idole le Dieu profit. Ils ont pignon sur rue et ne craignent pas les représailles de la justice. Ils ne risquent pas de finir sur l’échafaud protégés qu’ils sont par la loi.
Le racket est organisé méthodiquement et passe systématiquement par la case « banque ». Ce ne sont plus des bandits au grand cœur mais des « vidangeurs.» Ils rançonnent les citoyens qui sont contraints par la loi de posséder un compte en banque. Ceux qui arrivent à ouvrir un livret A ou quelconque livret pour placer un peu d’argent en cas de chômage, de maladie ou de problème de logement… ne seraient pas démunis momentanément.
Ces vidangeurs ne sont pas des clandestins, ils ont pour adresse de somptueux bâtiments et sont connus sur la place publique : Banque postale, Crédit agricole, Banque populaire, Caisse d’épargne (sic), Société générale, Crédit lyonnais…
« Les journaux regorgent d’histoires de braves gens pris en otage dans les banques par des gangsters. Mais il restent muets sur les cas pourtant fréquents de clients pris en otage par leurs banquiers. »
Roland Topor
Quelle aubaine !
Avec le soutien de l’État, notre argent est drainé vers les banques (c’est vrai nous avons le libre choix). La mensualisation et l’obligation d’avoir un compte en banque pour toucher son salaire se fera progressivement entre 1969 et 1976.
Depuis le 27 décembre 2022, les salaires et les prestations sociales sont obligatoirement versés sur un compte en banque, alors qu’il n’est pas obligatoire de disposer d’un compte en banque…
Commence le siphonnage des comptes bancaires et autres livrets alors que l’on a rien demandé. L’OPA sur les comptes rapporte aux banque des milliards. Avec cet argent qui ne leur appartient pas, tous les mois, les banques procèdent à des opérations financières.
Quand les banques financent et prennent des actions dans les entreprises
C’est ainsi que depuis janvier 2020, les 4 plus grosses banques françaises ont avec notre argent (compte en banque et divers livrets d’épargne) accordé 100 milliards de dollars de financement aux entreprises qui ont des activités dans le secteur du charbon, du pétrole et du gaz. Elles participent au financement pour le développement des PME qui font dans l’innovation dans le cadre de la transition énergétique.
En retour avec « notre » argent les banquiers requins enregistrent de somptueux profits et peuvent verser des salaires de nababs aux PDG et de somptueux dividendes aux actionnaires et ce sans bourse déliée.
Si les comptes en banque et les divers livrets d’épargne sont considérés par la loi Eckert de 2016 inactifs parce que vous n’avez réalisé aucune opération pendant une longue période (un an pour un compte, cinq ans pour un livret d’épargne,) ils seront d’office clôturés et les sommes versées à la Caisse des dépôts et consignations.
Le client aura alors 20 ans pour se manifester et récupérer son argent. Dans le cas contraire, l’argent est définitivement perdu (pas pour tout le monde) et envoyé dans les caisses de l’État.
Entre 2016 et 2021, plus de 10 millions de comptes bancaires ont été transmis à la Caisse des dépôts et consignations.
Le montant des comptes considérés inactifs a représenté une valeur totale de 7,18 milliards d’euros
Quand les banques et les mutuelles sponsorisent le sport
C’est à grands coups de millions d’euros que les banques et mutuelles construisent des stades, sponsorisent des meetings sportifs, des courses automobiles, le Tour de France, les tournois de tennis, les championnats de foot, des courses comme le Vendée Globe, recrutent des sportifs qu’elles transforment en panneaux publicitaires ou embauchent des comédiens, des acteurs pour vanter le bienfaits de leurs activités.
En guise de bienfaits, les retombées financières de tous ces déploiements de publicité supposées être effectuées à titre gracieux sont plus que juteuses car les spectateurs n’ont que l’embarras du choix pour se faire gruger.
Mais, cerise sur les profits, toute cette débauche de publicité permet à ces requins de la finance de défalquer de leurs impôts soit en totalité soit partiellement le montant de leurs investissements !
Quand les banques et les mutuelles font dans le culturel
Elles s’activent dans la quasi totalité du secteur de la culture et mettent leurs empreintes sur les expositions diverses et a...variées, la musique, le théâtre, les arts plastiques… Elles font en général dans le grandiose, juste pour donner l’illusion… Alors que la plupart du temps, elles offrent de la médiocrité mais qu’à cela ne tienne, le gogo en aura pour son argent et celles qui nous proposent de la culture de bas étage pourront défalquer de leurs impôts les montants faramineux qu’elles investissent.
Comme disait le grand-père Justhom quand un bistrot fermait ses portes en Bretagne : « Les bistrots sont remplacés par des banques. Au comptoir des bistrots, tu passais la monnaie et tu avais un coup ou plusieurs à boire et le patron remettait sa tournée. Au comptoir des banques tu passes la monnaie (ton salaire) mais en échange tu n’as pas à boire. » Banquier est un métier où celui qui l’exerce, excelle dans l’art de faire fortune avec l’argent qu’il n’a pas, mais avec celui des autres.
Nous sommes dépossédés de la gestion de nos comptes. Tous les mois ou tous les trois mois, nous sommes ponctionnés pour la gestion de notre compte ainsi que du livret si nous en avons un. Si nous voulons un prêt, il nous faudra justifier d’un CDI. Nous ne pourrons pas forcément obtenir le montant désiré si notre salaire est jugé insuffisant et nous devrons rembourser en payant des intérêts alors qu’une partie de l’argent nous appartient. Et ne vous avisez pas d’être à découvert vous payerez une amende (des agios) comme ils disent. Et si cela se reproduit, vous pouvez être interdit bancaire alors que ce n’est pas obligatoire d’avoir un compte en banque. Là encore, vous devrez payer des frais de découvert alors que vous n’avez pas le sou. Et ces frais, tant qu’ils ne seront pas couverts, augmenteront chaque jour.
Ce sont toujours les plus modestes, les plus pauvres dont les fins de mois arrivent dès le début du mois qui ont souvent des incidents bancaires et de ce fait sont sanctionnés par des pénalités financières qui les précarisent encore un peu plus.
Quand les petits ruisseaux font les grands fleuves
Les pénalités dues aux découverts et incidents bancaires rapportent chaque année plus de 6 milliards d’euros aux banques françaises. Un jackpot, une manne financière, une escroquerie monumentale qui précarisent toujours plus les plus pauvres. Voilà ce que l’on peut appeler du vol !
Heureusement que les populations ne comprennent pas le fonctionnement opaque du système bancaire. Car Mesdames et Messieurs les tarets, elles vous feraient subir les supplices et les tortures que vos semblables infligeaient jadis aux bandits de grands chemins. Ils avaient une autre éthique. Ils détroussaient les riches pour redonner aux pauvres.
Justhom – Groupe de Rouen
PAR : Justhom
Groupe de Rouen
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1 |
le 10 février 2025 19:07:44 par jean jean de garrigue |
Je retiens que les " brigands" ne faisaient pas couler le sang alors que le leur coula à flots après moultes tortures... alors qui étaient vraiment les brigands dans l’histoire ? Ils redistribuaient l’argent aux pauvres alors que les riches ...! alors, même question, qui étaient les brigands ? Rien n’a changé, et aujourd’hui comme hier, nous comme eux à l’époque, il nous faudra bien faire révolution, dans la joie bien sûr, et sans verser le sang comme ces porcs et ces membres de la voyoucratie l’ont toujours fait