C’est un petit homme capricieux qui a été privé de son développement naturel, mais qui a les dents longues et acérées, le regard torve et le crâne mou comme une bulle.
« Je n’aime pas les adolescents, je ne les comprends pas . Ma femme les comprend. » Cette phrase a été prononcée par Emmanuel Macron, le président de la République française, le 15 juillet 2025, lors d’un voyage au Groenland et au Canada.

On peut légitimement penser que le personnage n’a pas eu d’adolescence. A peine sorti du cocon familial, de l’enfance, ce surdoué a vécu avec une personne plus âgée que lui. Ce qui fait qu’il a vieilli prématurément. Il vit comme un vieux. Il pense comme un vieux. Il agit comme un vieux. Il est aigri comme un vieux. Bref, c’est un vieux avant l’âge.
Alors quoi de plus normal qu’il ne comprenne pas les adolescents. Il doit y avoir une forme de frustration à être à peine passé par la case de l’adolescence. Qu’il ne les aime pas est, je le pense, un caprice de vieux. Bien souvent les ados agacent les personnes âgées. Elles sont moins patientes et parfois exigeantes.

Depuis huit années, sa crise d’adolescent perdure
A 39 ans, cet enfant capricieux vient d’accéder à la plus haute fonction de l’État, président de la République. Cela a déclenché chez ce petit bonhomme, certes avec quelques années de retard (on ne peut pas être précoce dans tous les domaines) une véritable crise d’adolescence.
Depuis maintenant 2017, il nous fait crise sur crise. Il se prend pour le Pape, pour Napoléon, pour Jupiter et s’est cru a un moment le maître des horloges, de l’Europe. Il n’a pas compris qu’il n’était pas seul au monde.
Au fil des années, son ego a tellement enflé qu’il ne supporte plus personne. Il est de plus en plus autoritaire, prétend faire le jour et la nuit. Il veut être le maître des jeux et ne supporte pas perdre. Quand il perd, il ne l’avoue jamais.
Envers le peuple, il n’a que mépris. Il le traite d’illettré, d’alcoolique, de fainéant, d’être rétif au changement. Il le menace de la matraque lorsqu’il qu’il ose contester ses décisions et ses lois scélérates. Le peuple doit obéir.

La dérive autoritaire est plus qu’inquiétante
Les propos guerriers et va-t-en guerre ne laissent présager rien de bon. Les budgets de l’armée et de la police sont en hausse constante alors que ceux de l’éducation, de la culture et du secteur public (hôpitaux, transports, minima sociaux) sont en baisse vertigineuse.
Le petit homme se prend pour un super homme. Dame, il pense avoir tous les pouvoirs et faire du peuple son esclave.
Le petit homme est capricieux mais s’il pense que le peuple est son joujou et qu’il peut le maintenir sous sa coupe, il se met le doigt dans l’œil jusqu’au coude. Sa soif d’autorité ne fera pas entrer le peuple dans le rang. Ce n’est pas par l’instauration du pouvoir personnel et de l’autocratie que ce misérable et petit individu stoppera la colère.
Il pourra toujours trépigner comme un sale gamin, désigner du doigt le coupable et hausser le ton, rien ne peut arrêter un peuple en marche. A la moindre risée, il se sauvera les jambes à son cou en implorant sa maman, sa femme, car le petit homme n’est guère courageux. C’est un pleutre.
Quand on est petit, on ne joue pas au grand. On reste simple, à sa place et surtout on ne tape pas des pieds pour obtenir toujours plus.
Il faut espérer que le peuple se chargera de le faire entrer dans le rang et qu’il lui confisquera son hochet « le vote » et éliminera ses complices et petits camarades de ce jeu macabre qu’est le pouvoir (les ministres, les députés, les sénateurs, sa police, son armée et toutes les têtes d’œufs de la haute administration.)
Sans les apparats, sans le costard, sans le ruban rouge, sans ses soutiens constitutionnels, l’adolescent même en crise n’est rien qu’un petit homme, celui qui se prend pour un autre est nu !

Justhom
Groupe de Rouen