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par Evelyne Trân le 15 novembre 2021

Brigadier, un double !

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Trewa / Horvath apatride

TREWA. Spectacle de la metteuse en scène et militante chilienne mapuche Paula Gonzalez Seguel





Flûte traversière, cuatro venezolano, ron roco, cuenco, choriste : Evelyn Gonzalez
Actrice, chanteuse, percussions latino-américaines, productrice : Nicole Gutiérrez Perret
Régisseur son et vidéo : Roberto Collío
Violoniste, choriste : Sergio Ávila
Cordes latino-américaines : Juan Flores
Violoncelliste, choriste : Ángela Acuña
Régisseur son : Ivan González / Régisseur lumière : Francisco Herrera / Scénographie : Natalia Morales Tapia / Assistante à la mise en scène, production, surtitres : Andrea Osorio Barra
Metteure en scène Paula González Seguel
Directrice musicale Evelyn González

Avec Amaro Espinoza, Benjamín Espinoza, Constanza Hueche, Norma Hueche, Juan Carlos Maldonado, Vicente Larenas, Francisca Maldonado, Hugo Medina, Rallen Montenegro, Elsa Quinchaleo y Paula Zúñiga.

SYPNOSIS :
En 2016, Yudith Macarena Valdès Munoz, militante environnementale, est tuée dans des circonstances suspectes alors qu’elle résiste contre l’installation d’un barrage au sud du Chili, sur les terres mapuches : c’est le point de départ de Trewa, État nation ou le spectre de la trahison. Le spectacle explore les mécanismes de la violence subie par le peuple Mapuche au Chili depuis le XVème siècle. Résultat d’un travail d’investigation de plusieurs années, il mêle perspectives historiques, ethnographiques et politiques grâce à une pratique multidisciplinaire qui réunit une trentaine de professionnels. À partir du dispositif de fiction documentaire, les musiciens, performeurs, écrivains, cinéastes qui ont participé à l’enquête donnent un aperçu de ce que provoque la violence dans leur quotidien et témoignent d’une culture et d’un mode de vie en lutte constante pour leur reconnaissance. Le geste de création, en soi révolutionnaire, confère sa valeur à la forme créée : pour ce peuple discriminé et violenté, ce qui était un projet artistique est devenu une lutte sociale et politique contre l’injustice et l’invisibilité forcée.

Le spectacle actuellement en tournée constitue un évènement aussi bien pour le public français que pour les communautés mapuches qui continuent à lutter pour se faire entendre. Fondée en 2008, par Paula González Seguel, d’origine mapuche, metteure en scène, actrice, réalisatrice, la compagnie KIMVN Teatro a à son actif une dizaine de mises en scène.

L’équipe théâtrale s’est spécialement formée pour ce spectacle dans une démarche aussi bien politique qu’artistique. C’est dire que tous les artistes sont engagés et certains ont même dû faire face à des intimidations et des persécutions pour avoir participé aux mouvements sociaux au Chili.

Pour Paula Gonzáles Seguel, le théâtre est devenu un outil de lutte : « La compagnie explore une « dramaturgie de la résistance » qui vise à l’autodétermination et la reconnaissance des Mapuches par la société chilienne. Venue pour la première fois en 2011 à Sens Interdits avec la création de Ñi pu tremen, elle poursuit ici son travail documentaire avec Trewa, spectacle issu d’un projet de recherche-création en collaboration avec le CIIR (Centro de Estudios Interculturales e Indígenas). »
Nous avons été très sensibles à l’orchestration musicale et aux chants qui ponctuent les scènes du quotidien d’une famille Mapuche confrontée à l’assassinat de Yudith Macarena Valdés Muñoz, militante écologiste. Le seul témoin était un enfant en bas âge et le meurtre maquillé en suicide. Tandis que les proches discutent, l’on voit errer sur la scène la militante. Pour les Mapuches, ceux qui pratiquent le culte des ancêtres et aussi celui de la nature, les morts ne sont pas morts.
Mapuche signifie « Gens de la terre ». en amérindien. Encore nombreuses sont les communautés de paysans pêcheurs attachés à leurs traditions.
A l’issue de la représentation, des spectateurs Mapuches ont souligné que le spectacle était le reflet de la force de leur peuple, la force de ce lien sacré qu’il a avec la terre et qui le détermine à lutter contre ceux qui la saccagent et empoisonnent l’eau.
L’une des artistes a été choquée lors de son passage à Paris par tout le luxe produit par notre pays. Pour produire tout ce luxe dit-elle, des peuples d’Amérique, Afrique, Asie et les communautés indigènes sont en train de le payer. Des personnes comme Yudith Macarena Valdés Muñoz, ont sacrifié leur vie pour la défense d’une rivière. Elle a demandé que l’on réfléchisse à propos de chaque privilège qui coûte seconde par seconde la vie à « notre mère terre, des gens de leurs peuples ».
La doyenne de la compagnie a clos cette belle rencontre avec le peuple Mapuche avec un chant ancestral de toute beauté.

Eze, le 15 Novembre 2021
Evelyne Trân
Le 24 Octobre 2021 au Théâtre Jean Vilar 1, place Jean-Vilar - 94400 Vitry-sur-Seine - Spectacle en espagnol et mapudungun Surtitrages : Français.
TOURNÉE - Théâtre Durance (Château-Arnoux-Saint-Auban) – 20 octobre
- Théâtre Vitry sur Seine – 24 octobre
- Théâtre National Populaire de Villeurbanne (dans le cadre du Festival Sens Interdits de Lyon) – 28, 29 octobre
- Scène Nationale du grand Narbonne – 9 novembre
- L’Estive, Scène Nationale (Foix) – 12 novembre
- Théâtre Michel Portal (Bayonne) – 16 novembre
- Théâtre Molière, Scène Nationale de Sète – 19 novembre

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Horvath apatride de Matéo Troianovski





Photo Benjamin PAYET

« Je n’ai pas de pays natal et bien entendu je n’en souffre aucunement. Je me réjouis au contraire de ce manque d’enracinement, car il me libère d’une sentimentalité inutile… »
« Le concept de patrie, falsifié par le nationalisme, m’est étranger. Ma patrie c’est le peuple. »

Ainsi se présente Ödön von Horváth, né à Fiume le 9 décembre 1901, près de Trieste sur l’Adriatique, dans l’empire austro-hongrois qui sera démembré en 1918. Son père étant diplomate, il grandit dans différentes villes : Belgrade, Budapest, Vienne, Presbourg, Munich.

Balloté entre plusieurs pays et plusieurs langues, il se déclarera lui-même comme un pur produit de l’empire Austro-Hongrois - qui avait réuni plus de 200 nations - Un commentateur dira de la patrie d’Horvath qu’elle est utopique. Elle s’appelle : liberté.

Écrivain d’expression allemande (Il est auteur de 17 pièces et de quelques romans dont Jeunesse sans Dieu), il décide d’écrire très tôt, ses premières publications datent de 1922. En 1927, a lieu la création de Révolte à la cote 3018 à Hambourg et une nouvelle version en 1928 sous le titre. Le Funiculaire (inspiré d’un fait divers) à Berlin. Une maison d’édition lui offre un contrat qui lui permet de vivre de sa plume. Il recevra le prix Kleist pour la pièce légendes de la vie viennoise à Berlin. Sa notoriété grandissante coïncide avec l’avènement du nazisme et l’arrivée d’Hitler au pouvoir. Ses écrits font l’objet d’un autodafé et il doit s’exiler.

C’est tout de même une gageure que celle de mettre en scène la vie d’un écrivain tel qu’Horvath. Chez cet écrivain, la vie et l’œuvre sont étroitement liées. C’est ce que met en évidence Matéo Troianovski , l’auteur de la pièce Horvath l’apatride qui relate son parcours d’écrivain résistant, parsemé d’embûches, en y incluant sa relation amoureuse avec une comédienne Hertha Pauli. Un personnage qui est selon l’auteur, un lien entre le rêve et la réalité, l’aspect conscience de la pièce.

Interprété par Matéo Troianovski, Horvath apparait comme un jeune homme « bélier » consumé par l’œuvre qu’il est en train de créer. Du coup la personnalité d’Hertha Pauli par contraste ne diffère pas de l’ordinaire et de cette fameuse réalité qui permet de garder les pieds sur terre.

Le spectateur reste suspendu aux paroles du jeune homme qui incarne la fébrilité de la jeunesse, sa vitalité. Oui, dans Horvath coulait le sang d’un révolutionnaire !

Sans doute l’auteur veut-il aussi signifier qu’Horvath était également un jeune homme comme les autres qui n’entendait que vivre libre. Les circonstances seraient responsables de sa révolte et de ses combats d’écrivain dont les écrits ont tout de même fait l’objet d’un autodafé, un événement absolument choquant pour un jeune dramaturge.

Nous saluons le jeu des comédiens, très justes et la mise en scène d’Élie Rofé. Sobre et fluide, elle adoucit la perception du personnage d’Horvath. De sorte que la pièce ne revêt pas un caractère didactique, elle parle aussi à l’imaginaire d’une époque révolue dont nous gardons des traces grâce notamment à la musique que l’on entend au gramophone.

Le décor, celui d’une pièce de vie réduite à son strict minimum, bureau et vieille machine à écrire reflète la précarité matérielle de l’écrivain mais aussi sa seule préoccupation, l’écriture.

Les circonstances de la mort d’Horvath survenue le 1er Juin 1938, ajoutent encore au caractère romanesque de sa vie. Lors d’une escale à Paris, venant d’assister à une projection de Blanche-Neige de Walt Disney (né le 5.12.1901), il est fauché par la branche d’un marronnier foudroyé devant le Théâtre de Marigny. Faut-il que le destin soit aveugle ou ironique ?

Par sa vibrante mise en scène, le spectacle donne furieusement l’envie de découvrir ou redécouvrir Horvath l’apatride dont l’engagement contre le fascisme ne peut que nous interpeller hélas de nos jours.

Paroles de jeune, paroles d’aujourd’hui :

« Je ne me soucie pas de ce qui peut arriver, je me soucie seulement de ce qui ne devrait pas être ». « Il ne se peut pas que l’individu ne joue aucun rôle. »

Eze, le 13 novembre 2021

Evelyne Trân

N.B : Elie ROFE, metteur en scène était l’invité de l’émission DEUX SOUS DE SCÈNE, sur RADIO LIBERTAIRE, en 2ème partie, le samedi 13 Novembre 2021, en podcast sur le site de RADIO LIBERTAIRE.

à la Comédie nation 77 Rue de Montreuil 75011 PARIS du 12 au 20 Novembre 2021, les vendredis à 19 H, les samedis à 18 H 30.
PAR : Evelyne Trân
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