Chroniques du temps réel > ???? Cascade d’un poème ou quelle mouche te pique ????
Chroniques du temps réel
par Evelyne Trân • le 3 mai 2021
???? Cascade d’un poème ou quelle mouche te pique ????
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La fête du travail
Hier, c’était la fête du travail ! Alors parlons-en du travail !
Je greffe sur ta peau un morceau de poème comme une résistance offerte au monde qui t’enserre. Tes pieds se balancent sous la table. Tes pieds courent sur le sable d’une plage solitaire et tu comptes le temps. Le temps ravi à la lumière, aux oiseaux observés dans le ciel, à une main d’enfant qui regard le ciel pour ne pas écorcher le bruit tentant de sa raison. Cette main qui décline étroitement le temps qui la sépare de l’avenir, l’a entendu couler dans celles de ses parents.
« Tu travailleras huit heures par jour » Ce n’était pas écrit sur le sable.
Le bourreau du travail rentre dans la pièce où ligotée par l’heure, l’employée imagine ses pieds engourdis fondre en larmes. Elle est victime de l’engourdissement total, engourdissement de l’âme. Mais a-t-elle une âme ? Et si elle en a une, elle le sait, elle court encore sur la plage en compagnie de ses parents. Mon dieu, comme elle a marché en silence sur son corps défunt, des kilomètres de plage parcourus à l’intérieur d’une cage. Elle est du temps mort, pense-t-elle, du temps bitume, sans lumière, sans rêve, elle est un corps qu’elle n’atteindra jamais. C’est un insecte qui surgit de ses yeux secs qui la somme de parler :
« Bouge-toi de là, lui dit-il, bouge-toi, renonce à l’habitude, et suis-moi, suis-moi au moins du regard, j’ai la prétention d’exister, vois-tu, viens donc que je te pique.
- C’est étrange, répond l’employée, j’existerais pour vous qui n’êtes qu’un insecte et je suis inexistante pour mes patrons qui ne voient en moi qu’une manœuvre. Je crois toujours ce que l’on me dit. Ils ont dit : « elle est inexistante » Alors je les ai crus. Que voulez-vous, j’appartiens au monde du travail, j’ai l’existence blafarde d’une employée, emmurée derrière les barreaux de l’heure, on me confond avec. Cela a un prix de vivre, ne croyez vous pas ? Qui ne dit mot consent. Elle serait blasphème, chez moi la vérité, elle aurait trop à faire avec mes rêves, mes fantasmes, des choses qui n’intéressent personne. Savez-vous ce que je suis, un noyau de pèche égaré sur le sable. Ma chair je l’ai vendue pour nourrir mon enfant. Je me suis mal débrouillée, certes, mais je m’en fous. Je voulais connaître la vie et je l’ai connue. A quatre pattes, voyez vous comme un noyau de pèche à mille pattes ou avec des béquilles, je grimperai les gradins pour assister au spectacle de la vie, j’essuierai les marches poussiéreuses, je me collerai aux semelles crottées d’un passant, je laisserai l’eau du seau de la femme de ménage m’éclabousser. Pour être en devenir, voyez-vous, toujours en devenir. Alors évidemment un noyau de pèche peut finir à la poubelle, mais il aura vécu, croyez-moi. Il aura regardé à travers les fissures des planches. Il les aura écoutées trembler, il aura été piétiné, il aura peint le temps en blanc, en jaune, en noir, il aura pris ma forme d’employée soumise, il aura été un fardeau pour lui-même mais léger, léger, il tient encore dans ma main d’enfant. Oui, je me suis laissé emprisonner par les barreaux de l’heure. Il fallait que je tape dans la main d’autrui parce que la liberté, la liberté c’est aussi la solitude et j’avais des songes qui voulaient être pétris à mains nues, des songes en forêt, des songes abrupts, des songes derrière l’horloge qui riment avec esclavage. Un premier jour d‘embauche dans un hôtel trois étoiles, le patron m’a dit pour m’humilier : Allez nettoyer les toilettes. Ce patron avait connu mon père qui s’était ruiné chez lui. Alors il voulait savourer, soi-disant ma déchéance. J’ai regardé la cuvette qui débordait de merde. J’avais vingt ans, beaucoup de bonne volonté mais je n’étais pas folle. J’ai pensé « Je ne suis pas plombier » et je suis ressortie. Ah nettoyer la merde des autres, pourquoi pas, avec en prime le sourire narquois du patron. Je n’avais rien contre la merde, ni contre la déchéance. J’étais libre puisque je pouvais encore photographier des yeux une cuvette pleine d’excréments, seule comme au confessionnal.
Alors l’insecte l’interrompt brusquement :
- Pourriez-vous faire un poème de ce souvenir merdique ?
Et l’employée répond :
- La boue est un terme générique, ce sont les hommes qui ajoutent des défauts et des qualités à leur environnement par rapport à leur perception, tout à la fois plurielle et limitée. A mains nues, je continuerai à pétrir la terre parce qu’elle ne me ment pas elle. Voici ma définition du poème : représentation insolite de mots pour envoyer un message à d’autres hommes ou femmes et même aux morts, pour faire éclore une bulle d’air, pour sourire à l’homme désarmé, être un moyen de secours contre la peur. Être.
- Quant à moi dit l’insecte je m’interrogeais sur le sens de cette expression profonde « Quelle mouche te pique » et je suis satisfait car j’ai fait mon travail. A la prochaine, Mademoiselle. »
Eze, le 3 Mai 2021
Evelyne Trân
Hier, c’était la fête du travail ! Alors parlons-en du travail !
Je greffe sur ta peau un morceau de poème comme une résistance offerte au monde qui t’enserre. Tes pieds se balancent sous la table. Tes pieds courent sur le sable d’une plage solitaire et tu comptes le temps. Le temps ravi à la lumière, aux oiseaux observés dans le ciel, à une main d’enfant qui regard le ciel pour ne pas écorcher le bruit tentant de sa raison. Cette main qui décline étroitement le temps qui la sépare de l’avenir, l’a entendu couler dans celles de ses parents.
« Tu travailleras huit heures par jour » Ce n’était pas écrit sur le sable.
Le bourreau du travail rentre dans la pièce où ligotée par l’heure, l’employée imagine ses pieds engourdis fondre en larmes. Elle est victime de l’engourdissement total, engourdissement de l’âme. Mais a-t-elle une âme ? Et si elle en a une, elle le sait, elle court encore sur la plage en compagnie de ses parents. Mon dieu, comme elle a marché en silence sur son corps défunt, des kilomètres de plage parcourus à l’intérieur d’une cage. Elle est du temps mort, pense-t-elle, du temps bitume, sans lumière, sans rêve, elle est un corps qu’elle n’atteindra jamais. C’est un insecte qui surgit de ses yeux secs qui la somme de parler :
« Bouge-toi de là, lui dit-il, bouge-toi, renonce à l’habitude, et suis-moi, suis-moi au moins du regard, j’ai la prétention d’exister, vois-tu, viens donc que je te pique.
- C’est étrange, répond l’employée, j’existerais pour vous qui n’êtes qu’un insecte et je suis inexistante pour mes patrons qui ne voient en moi qu’une manœuvre. Je crois toujours ce que l’on me dit. Ils ont dit : « elle est inexistante » Alors je les ai crus. Que voulez-vous, j’appartiens au monde du travail, j’ai l’existence blafarde d’une employée, emmurée derrière les barreaux de l’heure, on me confond avec. Cela a un prix de vivre, ne croyez vous pas ? Qui ne dit mot consent. Elle serait blasphème, chez moi la vérité, elle aurait trop à faire avec mes rêves, mes fantasmes, des choses qui n’intéressent personne. Savez-vous ce que je suis, un noyau de pèche égaré sur le sable. Ma chair je l’ai vendue pour nourrir mon enfant. Je me suis mal débrouillée, certes, mais je m’en fous. Je voulais connaître la vie et je l’ai connue. A quatre pattes, voyez vous comme un noyau de pèche à mille pattes ou avec des béquilles, je grimperai les gradins pour assister au spectacle de la vie, j’essuierai les marches poussiéreuses, je me collerai aux semelles crottées d’un passant, je laisserai l’eau du seau de la femme de ménage m’éclabousser. Pour être en devenir, voyez-vous, toujours en devenir. Alors évidemment un noyau de pèche peut finir à la poubelle, mais il aura vécu, croyez-moi. Il aura regardé à travers les fissures des planches. Il les aura écoutées trembler, il aura été piétiné, il aura peint le temps en blanc, en jaune, en noir, il aura pris ma forme d’employée soumise, il aura été un fardeau pour lui-même mais léger, léger, il tient encore dans ma main d’enfant. Oui, je me suis laissé emprisonner par les barreaux de l’heure. Il fallait que je tape dans la main d’autrui parce que la liberté, la liberté c’est aussi la solitude et j’avais des songes qui voulaient être pétris à mains nues, des songes en forêt, des songes abrupts, des songes derrière l’horloge qui riment avec esclavage. Un premier jour d‘embauche dans un hôtel trois étoiles, le patron m’a dit pour m’humilier : Allez nettoyer les toilettes. Ce patron avait connu mon père qui s’était ruiné chez lui. Alors il voulait savourer, soi-disant ma déchéance. J’ai regardé la cuvette qui débordait de merde. J’avais vingt ans, beaucoup de bonne volonté mais je n’étais pas folle. J’ai pensé « Je ne suis pas plombier » et je suis ressortie. Ah nettoyer la merde des autres, pourquoi pas, avec en prime le sourire narquois du patron. Je n’avais rien contre la merde, ni contre la déchéance. J’étais libre puisque je pouvais encore photographier des yeux une cuvette pleine d’excréments, seule comme au confessionnal.
Alors l’insecte l’interrompt brusquement :
- Pourriez-vous faire un poème de ce souvenir merdique ?
Et l’employée répond :
- La boue est un terme générique, ce sont les hommes qui ajoutent des défauts et des qualités à leur environnement par rapport à leur perception, tout à la fois plurielle et limitée. A mains nues, je continuerai à pétrir la terre parce qu’elle ne me ment pas elle. Voici ma définition du poème : représentation insolite de mots pour envoyer un message à d’autres hommes ou femmes et même aux morts, pour faire éclore une bulle d’air, pour sourire à l’homme désarmé, être un moyen de secours contre la peur. Être.
- Quant à moi dit l’insecte je m’interrogeais sur le sens de cette expression profonde « Quelle mouche te pique » et je suis satisfait car j’ai fait mon travail. A la prochaine, Mademoiselle. »
Eze, le 3 Mai 2021
Evelyne Trân
PAR : Evelyne Trân
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Le brigadier va-t-il tomber ?
3 coups en quête de brigadier
Tran To Nga déboutée mais pas résignée
les mots dits du Brigadier
le brigadier dans l’urgence
Le brigadier en quête de hauteur
Brigadier, toujours au théâtre ?
le brigadier renversé
Lady Day. Le brigadier débarque en Avignon.
Les jeux sont faits pour le brigadier ?
Le brigadier connaît la musique
Agent orange, suite...
Le brigadier face à l’horreur
Le brigadier messager
Le brigadier et les mots de tête
Ce n’est pas le brigadier, c’est le brigadier
Debout les crabes, le brigadier monte.
C’est sur un quai que le brigadier les découvrit.
le brigadier et son QI entre deux...
Pas de 2.0 pour le brigadier
"Oeil pour oeil, trois coups pour trois coups ?" se demande le brigadier
On regarde quoi ce soir ? se demande le brigadier
Le brigadier - employé de théâtre - et les employées de maison.
Un Jacques, une Anne, un Jean-Paul, un brigadier... et un raton laveur
Bécaille était dans la tombe qui regardait le brigadier
Une pinte de Guiness pour le brigadier
un brigadier mélomane
les blessures du brigadier
Le brigadier à l’école
Le brigadier redécouvre des textes
Le brigadier songe à ce que lui a dit une actrice : "Le trac, cela vient avec le talent."
Le brigadier et le capitaine
Fou, le brigadier ?
Confidence de Judka Herpstu au brigadier : " L’arriviste est celui qui s’engage derrière vous dans une porte tambour et trouve le moyen de sortir le premier."
Le brigadier est nyctalope
Au service du public, le brigadier est usager
Né en Juillet à Avignon, le brigadier est du signe du crabe.
"tout autour de l’île il y a de l’eau" remarque le brigadier
Est-ce bien raisonnable, brigadier ?
Le brigadier au champ
Le brigadier, bâton mais pas sous-off, au festival OFF
"La mémoire est la sentinelle de l’esprit" pensa le brigadier en confondant trou du souffleur et trou de mémoire...
Le temps est à la tempête pour le brigadier
Honoré, mon cher brigadier !
Chirac contre Mallarmé
Les trois signes du brigadier
Le brigadier et l’écrevisse
Une séance en enfer pour le brigadier
"Euréka" crie le brigadier
Tout le monde sur le pont, ordre du brigadier
le brigadier, Madame Fischer et Pablo...
Rendez-vous avec le COLLECTIF VIETNAM DIOXINE
Le brigadier dans la salle d’attente
Enfant, le brigadier rêvait de devenir bâton de pluie
pas de "good morning Vietnam" pour le brigadier
Le brigadier cherche à répondre à cette question : “Qu’advient-il du trou lorsque le fromage a disparu ?”
Godot, enfin arrivé, entraîne le brigadier au théâtre
Le brigadier, fils d’un arbre
Mais quel âge a donc le brigadier ?
Hey Brigadier, don’t make it bad...
Entendre le temps qui pousse… de Pascale LOCQUIN
Henri CALET, un doux anarchiste
Le brigadier est mat en trois coups
Même le brigadier a une mère
Le brigadier, Emile, et l’autre...
On est par trop sérieux quand on est brigadier
Le fauteuil d’artiste de Frédéric ZEITOUN
"Quand des blancs qui ne se connaissent pas se mettent à parler entre eux, il y a un nègre qui va mourir." pense le brigadier...
Nelly et Monsieur Brigadier
"La boule huit en coin avec effet rétro pour me placer !" annonce le brigadier
Le brigadier est amoureux
Le brigadier, un arbre mort. Ça fait réfléchir...
Le brigadier préfère les madeleines aux financiers
Pour le brigadier, pas de doute, l’incertitude est une valeur sûre. En principe...
Fa, ré, fa, ré joue le brigadier sur son clavier
Nouvelles de temps de guerre
Le nez rouge du brigadier
Le brigadier se voyait déjà...
Le massage n’est pas pour le brigadier
C’est les autres... dont le brigadier
Une table pour le brigadier
Brigadier, aimez-vous Brahms ?... ou Sagan ?...
Dans le bistrot d’Alphonse, le brigadier paye un verre.
Le poète des rues
Le flûtiste et la colombe.
Le brigadier se "ballade" à Paris
Témoignage d’une passagère d’autobus
Le brigadier se met à table
le brigadier va piano
Quoi ! Quoi ! quoisse le brigadier fou.
Le brigadier qui ne dit mots, passant...
Le brigadier, festivalier en Avignon
Le brigadier se fait faire la lecture
REPAS DE SOUTIEN AU PROCES DE TRAN TO NGA
Un spectacle musical pour le brigadier
Mais de quoi as-tu l’air ?
Quand le brigadier "rewind" la dernière bande
Le Brigadier connait-il Nora ?
Le brigadier se souvient de ce temps-là
Marguerite et le brigadier
Belle rencontre pour le brigadier
La femme est l’avenir du brigadier
S’accompagnant d’un doigt ou quelques doigts le brigadier se clowne.
Assieds-toi, brigadier !
Le brigadier au chevet
Le brigadier et le sourire noir de Mémé
Ne Bruscon pas le brigadier...
Le nouveau brigadier
Brigadier, écoute... Elles te parlent...
AY Brigadier !
Le brigadier témoin de l’Histoire
Joséphine BAKER. Les dernières années. La renaissance d’une étoile.
Le brigadier nous dit qu’au milieu coule une frontière
Un livre : Correspondance avec la Mouette Anton TCHEKHOV et Lydia MIZINOVA
En hiver, le brigadier songe à une mouette en avril
Le Brigadier à perdre la raison
Le brigadier aux violons
Joséphine Baker racontée par un de ses enfants
Le brigadier et lui
Un brigadier slave
Le brigadier sur l’autre rive
Brigadier, un double !
Le brigadier, en attendant Antigone...
Agent orange : un film.
Le brigadier connaît la chanson
La passeggiata del brigadiere a Roma, città aperta
Conférence de soutien à Tran To Nga
Le brigadier a l’âme slave
Le soleil n’a pas encore disparu !
Des nouvelles du procès de Tran To Nga contre les fabricants de l’agent orange
Le brigadier en ce début d’octobre
Le brigadier rencontre Romain Gary
Le brigadier rencontre Camus
Le brigadier du temps perdu
La rentrée du brigadier
Exposition sur l’agent orange
Affect ou éthique?
Le vigile et la flûte traversière
Le brigadier a-t-il son pass ?...
Poupée en chiffons
Quand le brigadier rencontre Proudhon et Courbet
Bon anniversaire Francis Blanche !
Le brigadier toujours en Avignon
le brigadier festivalier
Le brigadier en Avignon
Le brigadier pour ce premier jour d’été
le brigadier de la mi-juin
Le brigadier frappe à la porte du ML
Ecoutez, c’est le brigadier...
Les voilà, Les trois coups du brigadier
Procès intenté par Madame TRAN To Nga à l’encontre de 14 firmes américaines.
L’agent orange-dioxine. Le tribunal d’Evry fait la sourde oreille
V’la le brigadier qui va reprendre du service
L’agent orange-dioxine
Histoire d’un maillon faible
Vive les librairies d’occasion !
De Déborah Levy à George Orwell
Le printemps de la poésie
Les chants révolutionnaires d’EUGENE POTTIER (1816-1887)
Ma Chère Montagne
Ma terre empoisonnée de Tran To Nga
Les Grandes Traversées d’Helen JUREN
Brigadier même pas mort !
D’Anne Sylvestre à Camus
L’agent orange-dioxine : Résumé du procès qui a débuté ce 25 Janvier 2021 à Evry.
L’agent orange-dioxine
Passé, présent, futur
Pour qui vous prenez-vous ?
Bas les masques !
Les mots parlent d’eux mêmes
En attendant Godot... Isabelle Sprung.
Histoire de bus.
le brigadier tapera trois fois
Un biptyque
Elle
A propos de l’aquoibonisme
Bol d’air
Le théâtre de la vie
Double visite du brigadier
Une fantaisie du brigadier
le brigadier et la SORCIERE
Le brigadier néanmoins
Le retour du brigadier libertaire
Connaissiez-vous Henry Pessar ?
11e partie des entretiens à bâtons rompus de Patrick KIPPER
Liberté j’écris ton nom
Connaissez-vous Velibor Čolić ?
Le RAT-roseur Rat-rosé...
10e partie des entretiens à bâtons rompus de Patrick KIPPER
9e partie des entretiens à bâtons rompus de Patrick KIPPER
Mais ne dîtes pas n’importe quoi !
8e partie des entretiens à bâtons rompus de Patrick KIPPER
Fourmi humaine
Sans visage
7e partie des entretiens à bâtons rompus de Patrick KIPPER
Tous ces visages qui disent « ouf »
6e partie des entretiens à bâtons rompus de Patrick KIPPER
5e partie des entretiens à bâtons rompus de Patrick KIPPER
COVID 19 encore et encore
4e partie des entretiens à bâtons rompus de Patrick KIPPER
En relisant Baudelaire
3e partie des entretiens à bâtons rompus de Patrick KIPPER
Suite des entretiens à bâtons rompus de Patrick KIPPER
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En relisant Baudelaire
3e partie des entretiens à bâtons rompus de Patrick KIPPER
Suite des entretiens à bâtons rompus de Patrick KIPPER
Qui se cache derrière son masque ?
CAMUS
Avoir ou ne pas avoir le coronavirus
Confidence de femme
Brigadier !
Candide, le brigadier ?
Le brigadier prend le Tramway, correspondance à Mouette
Et revoilà le brigadier !
L’essence d’un individu c’est son intimité
Le brigadier est de retour...
Je m’appelle Erik Satie, comme tout le monde
Et pendant ce temps Simone veille
Poètes ? Deux papiers...
A voir, deux spectacles au féminin
deux pièces (de théâtre) à visiter au 36, rue des Mathurins
du théâtre en ce début d’année : Saigon / Paris Aller Simple
aux vagues d’un poète
Spectacles de résistance à découvrir au théâtre
SPECTACLES AU FEMININ A LA MANUFACTURE DES ABBESSES
Nouveaux coups paisibles du brigadier : BERLIN 33
Au théâtre : POINTS DE NON-RETOUR. QUAIS DE SEINE
théâtre : l’analphabète
Au théâtre "Change me"
c’est encore du théâtre : Killing robots
Théâtre : QUAIS DE SEINE
théâtre : Et là-haut les oiseaux
Théâtre : TANT QU’IL Y AURA DES COQUELICOTS...
théâtre : l’ingénu de Voltaire
théâtre : Les témoins
Théâtre : un sac de billes
théâtre : Pour un oui ou pour un non
Les coups paisibles du brigadier. Chroniques théâtrales de septembre 2019
Au bord du trottoir
Histoire d’un poète
au poète orgueilleux
La brodeuse
Dans quel monde vivons-nous ?
Portrait d’hybride
Tout va bien
La lutte
Page 57
théâtre : Sang négrier
Théâtre : CROCODILES -L’HISTOIRE VRAIE D’UN JEUNE EN EXIL
Théâtre : Europa (Esperanza)
Théâtre : Léo et Lui
théâtre : THIAROYE - POINT DE NON RETOUR
"Pas pleurer"
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1 |
le 3 mai 2021 13:49:56 par Luisa |
Merci beaucoup ! Je me suis régalée !