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Chroniques du temps réel
par Jean-Jean de Garrigues le 17 mars 2024

Melon 2000

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A fredonner à la manière de la chanson de Dalida « il venait d’avoir 18 ans »

Il venait d’avoir 39 ans, il était élu président
de la République,
et ceux qui ont voté pour lui, ils vont l’apprendre à leur dépend, Mônsieur…lui, il nous nique !
Il nous nique matin, midi et soir, il nique les petits et les grands, et même les méchants, et c’est tragique…
les jeunes, les vieux, les chômeurs, la sécu, les hôpitaux, les gilets jaunes, les petites retraites
et le service public
il faut que tout y passe, c’est sa musique
Car lui, il nique !…




Pendant qu’il boit les bières, se prend des cuites dans les dancings, les boites de nuit
nous on déguste,
nous on panique, on nous insulte, on nous tape
et il s’en tape…

Il nous a dit en macronie, je vous promets, je lave plus blanc que blanc, et depuis,
les ministres, les députés et les puissants
on ne les compte plus, les mises en examen, les casseroles au cul
ça nous offusque…

On pensait avoir touché le fond, ne pas pouvoir aller plus bas,
il nous attriste
car il nous a prouvé depuis qu’il faut une suite dans sa macronerie/ sa connerie
qu’on ira toujours plus bas, toujours plus bas en macronie, ils ont mis la marche en avant
droit dans le mur
et en chantant…comme tous les dictateurs, un va t’en guerre pour obéir au chef et casser les révolutions
avant-hier 1917 et aujourd’hui
la guerre déclarée sanitaire lors des gilets jaunes, de l’Ukraine pour la fameuse réforme et
nous on panique…
et lui il nous nique !

Elu tout jeune président, il dit toujours « en même temps »
« Qu’il nous faut traverser la rue », pour un boulot à petit temps,




On n’a pas le rond à partir du 10 du mois,
On n’a plus les sous pour payer l’essence et l’électricité,
ça il s’en tape…
Il a le gros, très gros melon, puissance 2000
Il se croyait plus fort que tout, plus fort que tous,
et même plus fort que Poutine,
avec la table de 20 mètres de long, l’autre il l’a pris pour un gros con
Puissance dix milles !

Les guerres, nous on n’y comprend rien
Salaires légers, chars lourds, c’est notre quotidien pendant
qu’il y a des camarades qui meurent au front
et toi, tu nous fais ta com
de clown et tu vas tous nous envoyer au front

je, tu , ils, elles te détestent au fond
ils, elles t’ont jugé sur le font car
tu n’es qu’un petit con.

Gilets jaunes un jour, gilets jaunes toujours
Libertaires un jour, libertaires toujours
On persiste et on signe, toutes et tous,
pour la Révolution.

Lettre après lettre, mot après mot, et même si
ma main me fait défaut
si ma plume me fait faux bond
il y a des camarades qui meurent au front
ils t’ont jugé sur le front
tu n’es qu’un petit con.

Il venait d’avoir 39 ans, et d’être élu président
de la république
Il s’appelait petit micron, depuis il a changé de nom, c’est le très gros melon
Ça ne change rien, on a toujours pas de pognon
Et ça nous attriste…

« Ça m’en touche une sans bouger l’autre », en plus il est mal élevé, quelle petitesse
En attendant on ne compte plus les mutilés, les éborgnés, ce sont des braves qu’ils disent
des braves salauds qui tuent gratos à tirs tendus à balles réelles, en caoutchoucs peut-être, mais qui t’enlève la moitié de la boite crânienne, bientôt à chaque coin de rue
Il s’en tamponne
Il a délégué le Darmanin pour faire sale besogne…

Il a même été ré élu, ce n’est pas croyable, on n’en peut plus,
Lui il rigole, il voyage tout le temps, l’empreinte carbone
Il s’en tamponne…

Je pourrais faire une chanson à la manière de Dalida
« Il venait d’avoir 18 ans… »
Mais tu ne m’inspires pas
plus que ça
Marionnette de Bernard Arnault, tu fais le sale boulot, ni de gauche, ni de gauche, petit président, petit résident
des riches
de la république.
Je te laisse à ta besogne, à ton pognon, à ton melon puissance dix mille, tu finiras comme la grenouille qui se croyait plus forte que le bœuf, tu vas gonfler, gonfler, gonfler et ensuite bien
t’éclater.

Illutions des votes sans suite…
de la petite démocratie, à la démocrature, demain ou déjà aujourd’hui à la dictature, comme le disait Ferré
« Vas voter connard ! »
Les chèvres de Bernard les milliards de sous choisiront la famille des professionnels de la politique, la mafia, celles et celui qui n’ont jamais fait que la politicaille, jamais travaillé, des branleurs de première, de la fille à la mère, de la fille à la sœur, du père à la fille, ceux-là ils ne se causent même pas, du père à l’arrière-grand-père, chez ces gens-là, monsieur, madame, on ne se cause pas,
on triche !….

Pour la prochaine, comme pour celles d’avant, on vous le dit, vos bulletins de vote, nous on s’en fiche,
Nos vies, nos firmaments, notre espace -temps, nous on dirige
sans vous, sans vos conneries, sans vos magouilles et sans vos mafioseries
nous on s’en fiche
on a que 2 mots à dire
Autogestion et
Anarchie !




Le désordre, c’est l’ordre moins le pouvoir :
A bons entendeurs, salut !
Je vous invite pour un autre temps, sans vous
Pour notre république, liberté, égalité, fraternité, pour notre monde sans vous
et sans la triche…
Le monde nous appartient, aujourd’hui déjà, tu n’es que le résidu d’une super nova
on sait ce qu’il en advient,
un trou noir
noir,
noir…dont il ne sort aucune lumière.

L’Histoire ne retiendra rien de toi.

Jean-Jean de Garrigues


PAR : Jean-Jean de Garrigues
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