sommaire du n° 52

mis en ligne le 30 novembre 1995

Une

Un attrape-nigaud
L'Anti-France
par Maurice Fayolle

Un document inédit de notre correspondant à New York
La Grève dans les hôpitaux new yorkais
par Sam Weiner

Congrès syndicaux et unité d'action
par Michel Penthié

Coexistence ?

Journalistes, attention…
Voici Biaggi-la-terreur
par Léo Faly

Le Miracle allemand
par Jean Fontaine

La vie politique et sociale

Lendemain de grève avortée
Action ouvrière contre la politique de redressement
par Roger Hagnauer

Quand le FLN cessera-t-il d'assassiner ? [mort de « Antar » Mohammed Nadji]
par la rédaction

Un procès d'histoire
Charles-le-sauveur contre Charles-le-fossoyeur
par Marcel Lepoil

Après Vincennes
par J.C.

(Souscription permanente

Vie de la Fédération

Librairie du Monde libertaire

Des lots de livres

À travers le monde libertaire

C'est la hargne chauvine qui provoque le racisme
par Charles-Auguste Bontemps

Brésil [10e anniversaire de la mort de Gonzalès Pacheco]

À rebrousse-poil
La Mort chère
par Pierre-Valentin Berthier

C.-A. Laisant révolutionnaire
par Dr Herscovici

Le coin des jeunes
Vacances inoubliables avec l'UNCM

« Réalité espagnole »
par C. Kottelanne

Francisco Ferrer
par Sol Ferrer

Formes et tendances de l'anarchie, VIII : l'utopie, fin ; IX ; le mythe, suite et fin
par René Fugler

« La passion, aveugle les puissants, comme les impuissants » (Schamb-Koch)
par Luc Bregliano

in memoriam
Tierra y libertad d'avril 1959, édité à Mexico, nous annonce, en éditorial, le mort de Hermilio Alonzo, plus connu dans notre pays sous le nom de Gonzalez.
Ce camarade espagnol résida de nombreuses années en France, militant anarchiste, il ne cessa de propager ses idées libertaires, malgré les poursuites dont il était l'objet. Pendant la révolution ibérique, il dirigea l'organisation des Espagnols résidants en France, à Perpignan. Il fut du dernier bateau, frété par les organisations révolutionnaires, pour évacuer les militants les plus en vue pendant la guerre d'Espagne : le lendemain de son départ, les Allemands étaient à Bordeaux.
Il se fixa à Mexico, où il continua de militer et fut un des animateurs de Tierra y libertad, qui lui doit beaucoup.
C'était un charmant camarade, loyal, dévoué, désintéressé. Il eut pu se retirer dans sa tour d'ivoire, car il gagnait bien sa vie, ce fut au contraire une raison pour lui d'aider à la propagande libertaire dont il était un des meilleurs représentants ; le mouvement anarchiste espagnol perd un de ses plus actifs et plus sincères éléments, et nous un ami sur et dévoué.
Que sa compagne veuille trouver ici, l'expression de notre admiration pour son vieux compagnon, et l'assurance de notre indéfectible amitié. Sa disparition sera durement ressentie par tous ceux qui l'on connu.

Le Monde libertaire des lettres et des arts

« Société et gouvernement » de Thomas Paine
Thomas Paine : pionnier de la liberté des peuples
par André Prunier

Le livre du mois
« L'Exilé de Capri » de Roger Peyrefitte
par Maurice Joyeux

Notes de lecture : « L'Homme et la propriété » de Charles-Auguste Bontemps
par Pierre-Valentin Berthier

Notes de lecture : « Aux frontières de l'enfer », G.-H. Guiraud
par C. Kottelanne

Notes de lecture : « Le Rire du sage ; précédé de la Sagesse qui rit », Han Ryner
par L.S.

Cinéma
Moi, un noir
par François Dobré

Peinture
Peintres, qu'en pensez-vous ?
par Midas

Disques [Roger Riffard]
par Midas

À travers les revues
par René Fugler