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Anti-capitalisme
par Justom le 10 février 2020

Macron, le troisième larron

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Le troisième larron est le plus jeune des « derniers » présidents, mais il est aussi et surtout le plus abject… Il n’est pas pas là par hasard. C’est un banquier, plusieurs fois millionnaires. Il est à la fois le fils spirituel de Rothschild et du jésuite le pape François. Il est ce qui y a de plus exécrable en ce bas monde.
Sa morgue n’a d’égale que son ambition démesurée. D’ailleurs son élection aurait dû nous alerter, surtout le décorum mis en place à la « Pyramide » du Louvre où le futur satrape est apparu comme une diva… L’homme et non pas « le dieu Jupiter » a donné toute la mesure de son fiel vis-à-vis du peuple. Si le peuple le laisse faire, il va complètement l’enchaîner et le priver de liberté.
Regardez-moi, je vais régner sur vous au nom de ma supériorité et des mes mentors les financiers. Ce décomplexé est arrivé à la présidence adoubé par la haute finance pour finir le travail de casse des acquis sociaux, de ce qui fonctionne, entamée par les deux casseurs précédents mais qui compte tenu des luttes n’ont pu arriver à leur fin.
La peur du peuple les a fait renoncer. C’est bien la preuve que même si le pouvoir emploie la « force » on peut le faire reculer...
Mais les tenants du capitalisme ne renoncent jamais. Ils changent leurs représentants par le « système électoral » qu’ils prétendent être la « démocratie ». En fait, le nom du président change mais le système capitaliste perdure et à chaque fois se fait plus violent, injuste et inégalitaire.




C’est ainsi que depuis 2017, celui qui préside aux destinées des Français est un infect personnage. Il a réussi face au mépris qu’il affiche, face aux lois injustes qu’il fait voter par une majorité de députés(es) croupions et idolâtres., depuis maintenant deux années à faire descendre dans la rue et ce quasiment tous les jours, toutes les catégories sociales de la population.
La violence policière, physique, juridique et manipulatrice qu’il fait subir au peuple et la détermination, la résistance du peuple montrent que deux conceptions de société s’affrontent. Le rapport des forces pour le moment a tendance à pencher du côté du peuple.
C’est pourquoi dans un premier temps les discours du Président, du Premier ministre et des députés(es) de la majorité présidentielle sont mensongers et racoleurs c’est « je vous ai entendus, je vous ai compris mais nous continuerons nos réformes coûte que coûte. »
Ils ont déjà démantibulé le code du travail, le conseil des prud’hommes, le statut de la SNCF, la fonction publique (l’école publique, le secteur hospitalier, la fonction publique territoriale…)
Aujourd’hui, ils s’attaquent aux retraites ... Et gageons que le bougre ne lâchera rien fort du soutien des financiers. Il est là pour finir le travail de sape des deux précédents présidents. C’est sa mission même si la lutte le contraint à la démission, les banquiers ont une ultime solution : créer la division entre les Français et le chaos (la guerre civile) pour ensuite réprimer et mettre en place un pouvoir autoritaire et fascisant incarné par Marine Le Pen et son mouvement.
Avec des mots enjôleurs comme universalité, par point en laissant entendre qu’il en sera fini avec les privilégiés et que tout le monde sera logé à la même enseigne. Ce qui est faux. Il n’ a pas un mot sur ceux qui cumulent plusieurs retraites pouvant aller jusqu’à 30 000 euros par mois (le président, les ministres, les députés, les sénateurs, des PDG et toute une palanquée de tarets qui vivent sur le dos du peuple.
Seulement, ils trouvent face à eux un peuple déterminé qui a compris que s’il laisse faire, c’est la fin su système des retraites par solidarité et par répartition et surtout c’est au bout du bout une retraite de misère pour ceux qui n’auront pas les moyens de se payer une retraite par capitalisation.
Je vais terminer cet article en reprenant les propos qu’Aldous Huxley tenait en 1932 : « La dictature parfaite serait une dictature qui aurait les apparences de la démocratie, une prison sans mur dont les prisonniers ne songeraient pas à s’évader ; un système d’esclavage où, grâce à la consommation et au divertissement, les esclaves auraient l’amour de leur servitude. »
Avec le potentat qui est à la tête du pays, c’est ce qui pourrait bien nous arriver. Et, si au cas où le peuple le chasserait du pouvoir, il est en train de préparer le « lit », et ce avec ses commanditaires les financiers, du Rassemblement national… C’est pourquoi la lutte de classe doit absolument s’intensifier pour empêcher le pays de sombrer dans une dictature encore plus féroce.
Ou le peuple prend sa destinée en main sans domination politique, sans exploitation économique, sans rapport de soumission, donc sans hiérarchie, où il se lie les mains à ce qui y a de plus exécrable, le fascisme synonyme de racisme, de xénophobie, de populisme outrancier, d’exploitation, de despotisme.
PAR : Justom
Groupe de Rouen
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1

le 12 février 2020 08:41:29 par Picchi

Je partage en tous points cet article .je précise que bien avant son élection ,certains d ’ entre nous avaient déjà senti le danger .pas assez nombreux malheureusement .compañeros ,il faut les dégager .

2

le 13 février 2020 08:55:11 par C HECTOR

FORT BIEN

POURTANT UN GRAND LIBERTAIRE

DANIEL COHN BENDIT SOUTIENT LE PRESIDENT

ET CE N EST PAS N IMPORTE QUI

C EST L ANCIEN AGITATEUR DE MAI 68

3

le 13 février 2020 09:24:21 par bernard

Merci C Hector pour cet humour décalé. A lire en écoutant "Les bourgeois".