Chroniques du temps réel > Révoltée !
Chroniques du temps réel
par Bernard • le 10 mars 2016
Révoltée !
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Quand elle était lancée, t’avais pas intérêt à te trouver en travers de sa route sinon gare au strike. Et là, elle est lancée. Ça fulmine grave sous la mise en plis et ça vibre de partout comme si un éclair suicidaire était venu se frotter à la Marie-Louise… Préférait qu’on l’appelle la Louise parce que la Marie, définitivement interdite de séjour depuis ce maudit jour où on l’avait traînée dans un hangar à prières pour qu’un sombre garde-champêtre lui passe la bague au doigt… Après, juste le temps de lui mettre un polichinelle dans l’tiroir et zou, parti acheter des allumettes et envolé avec les économies.
La Louise, tête baissée, shoote dans un cabot en train de poser des mines sur le trottoir. Devant elle, ça saute de côté, ça se la joue toréador. Les trop lents sont virés à grands coups du truc qui lui tient lieu de sac à main. Pas les moyens de faire autre chose que de rêver devant la vitrine du maroquinier.
Passage piéton avalé au milieu des coups de klaxon et des crissements de pneus.
« Toi, tu te pousses… C’est pas l’jour ! » Et le flic qui juge plus prudent de ne pas insister.
Son polichinelle une fois pondu, elle l’avait élevé toute seule sans jamais se plaindre, dure au mal depuis toute môme quand elle devait s’occuper de ses petits chieurs de frères et ses petites fières de sœurs. Charles qu’elle l’avait appelé. Elle aurait préféré Monique mais pour un petit gars, juste pas possible.
Elle aurait pu prendre le bus, le 21 avec changement Square Mozart pour prendre le 7 et descendre Rue du marché couvert. Mais dans le bus, z’auraient eu tout le temps de la reluquer des chaussures aux talons éculés jusqu’à la cime des cheveux. La reluquer et se moquer. Alors - elle se connaît depuis toute petite - elle y serait allée de quelques insultes bien senties, peut-être même de la tarte aux doigts et pour les plus crasses de ses interlocuteurs… une démonstration de genou Tchaïkovski….
Alors pour être sûre de pouvoir arriver, elle marche la Louise, elle marche. Parce qu’elle a intérêt à arriver vite. Pour son Charles.
Pour la première fois depuis son premier collier en nouilles de fête des mères, la Louise sourit. Sans le vouloir la petite voix dans sa tête a dit un truc presque drôle : « Dépêche-toi la vieille, Charles attend… »
Alors elle se dépêche en avalant son sourire histoire de redevenir terrorisante.
Voilà, reste à tourner au bout de la rue et hop, elle sera Rue du marché couvert. Pour l’instant le bus 7 la double en klaxonnant histoire d’espérer la remettre à sa place sur le trottoir…
Le Charles, un brave môme, studieux à l’école, jamais un mot pour se plaindre de l’absence du mec parti avant qu’il n’ait eu le temps de savoir dire « Papa »… Après, le parcours d’un brave jeune qui apprend vite un métier pour vite soulager sa mère. CAP de tourneur, la valse des petites annonces, le cousin qui le pistonne pour l’embauche à l’usine. Les collègues qui l’accueillent comme des camarades. Le panneau syndical, le délégué jamais trop loin et finalement l’adhésion.
« Dis la mère, ce soir je rentre plus tard, j’vais au syndicat. »
La Louise qu’est toute fière de son p’tit devenu grand.
Elle regarde sa montre, une vieille Lip du temps où ce que les chefaillons de cfdt ne s’étaient pas encore laissés mettre la main aux fesses par le patronat. Elle devrait être rentrée pour préparer le repas à temps.
La rue à traverser, klaxons, insultes, son majeur qui montre le ciel et le gars sur le perron avec sa carapace et sa sulfateuse sur le ventre qui n’a pas le temps de réagir. Se retrouve comme une tortue sur le dos, le cul dans la haie de berbéris pourpres. Et ça pique…
Une fois chez l’ennemi, comme une brebis au mitan du troupeau, elle reconnaît sans hésitation la voix du Charlie là-bas un peu plus loin.
« Pas la peine de vous déranger, je sais où j’vais ! »
Le policier de l’accueil la suit au cas où…
« Charlie ! Où est Charlie ? »
Elle s’engouffre dans un bureau.
« Alors c’est quoi cette histoire ? Paraît que vous avez arrêté mon Charlie ? »
Le Navarro sort des feuilles de l’imprimante, se la joue shérif des plates plaines, toise la Louise…
« Môssieur distribuait des tracts sans autorisation… »
« [… ]Durant la perquisition, Elodie tente de savoir ce qu’ils cherchent exactement. Les gendarmes évoquent alors la COP21, et une possible manifestation, arguant que tout rassemblement est interdit depuis l’état d’urgence, puis en viennent à parler d’une manifestation à laquelle les deux maraîchers auraient participé il y a trois ans. "Distribution de tracts au péage de Mussidan contre l’aéroport de Notre-Dame-des-Landes, ça vous dit quelque chose ?" auraient demandé l’un des gendarmes au couple un peu sonné. […] » Pauline Ben Ali – France Bleu Périgord 26 novembre 2015 (trouvé sur le site de France bleu).
« Et la liberté d’express… » Le shérif ne laisse pas au militant alpagué la moindre chance de finir sa phrase. Et ça, c’est juste le genre de truc qui peut foutre la Louise en pétard. Mais pour l’instant, elle se récite tous ses mantras de grande gueule qui se retient… « Pas donner dans l’outrage à connard sinon y a risque de 6 mois d’emprisonnement ferme et de 7 500 euros d’amende… » La Louise serre les poings, pas aggraver la situation du p’tiot…
En 2010 ça ferraille contre la réforme des retraites de Sarkozy. Le secrétaire général de l’Union départementale CGT du Rhône - Pierre Coquan - avait organisé une simple distribution de tracts à une barrière de péage de l’autoroute A6. Action somme toute assez courante… Répartis en petits groupes sur les différentes files de passage, une centaine de militants distribuaient des tracts politiques contre la réforme aux usagers de l’autoroute. Pan sur les doigts, Pierre Coquan et Michel Catelin, membre de l’Union locale de Villefranche-sur-Saône, sont poursuivis par l’ajustice, pour ne pas avoir préalablement déclaré cette distribution de tracts en Préfecture. Novembre 2012, le tribunal correctionnel de Villefranche relaxe les deux militants syndicaux, itou la Cour d’appel de Lyon fin janvier 2014. Le 9 février dernier, la Cour de cassation juge qu’une distribution de tracts à plusieurs est assimilable à une manifestation, donc sujette à déclaration préalable, casse la décision de la cour d’appel de Lyon et renvoie les deux militants devant la justice…
« De plus, vous n’aviez aucun papier sur vous… » Le shérif jubile, il va pouvoir afficher un militant à son tableau de chasse, accrocher sa tête dans son salon, arroser l’exploit avec ses collègues, écrire ses mémoires…
« Faudrait peut-être pas vous foutre de nous, vous dites qu’il distribuait des tracts et après vous l’accusez de ne pas avoir de papiers… » La Louise jubile, elle va pouvoir afficher un flic à son tableau de chasse, accrocher sa tête dans son salon à défaut de tête de garde-champêtre, boire un coup avec les frangines du club de bricolage.
Mais faut pas vendre la peau du lourd avant de l’avoir tué. Le poulet se dresse sur ses ergots.
« Vous, la mère, je vous conseille de ne pas vous énerver ! »
La Louise fonce sur le bureau, pose ses mains de bosseuse sans se soucier de tout ce qu’elles froissent…
« Vous, le flic, je vous conseille de ne pas faire de faute de français… Je ne m’énerve pas, VOUS m’énervez ! »
Un ange passe sans que personne ne songe à le plumer…
« Et c’était juste de la liberté d’expr… » Commence à dire le fiston avant un tonitruant « Si tu savais ce que j’en ai à foutre de la liberté d’expression ! »
Le shérif se cale dans son siège, tire le clavier vers lui et laisse parler le professionnel qui sait se contenir.
« Bon, on ne va pas y passer la nuit… Nom, prénom ? »
Alors le distributeur de tracts lève la tête, lit un truc photocopié qu’on a agrafé derrière le flic et le lit, mort de rire…
« Je suis Charlie ! »
La Louise, tête baissée, shoote dans un cabot en train de poser des mines sur le trottoir. Devant elle, ça saute de côté, ça se la joue toréador. Les trop lents sont virés à grands coups du truc qui lui tient lieu de sac à main. Pas les moyens de faire autre chose que de rêver devant la vitrine du maroquinier.
Passage piéton avalé au milieu des coups de klaxon et des crissements de pneus.
« Toi, tu te pousses… C’est pas l’jour ! » Et le flic qui juge plus prudent de ne pas insister.
Son polichinelle une fois pondu, elle l’avait élevé toute seule sans jamais se plaindre, dure au mal depuis toute môme quand elle devait s’occuper de ses petits chieurs de frères et ses petites fières de sœurs. Charles qu’elle l’avait appelé. Elle aurait préféré Monique mais pour un petit gars, juste pas possible.
Elle aurait pu prendre le bus, le 21 avec changement Square Mozart pour prendre le 7 et descendre Rue du marché couvert. Mais dans le bus, z’auraient eu tout le temps de la reluquer des chaussures aux talons éculés jusqu’à la cime des cheveux. La reluquer et se moquer. Alors - elle se connaît depuis toute petite - elle y serait allée de quelques insultes bien senties, peut-être même de la tarte aux doigts et pour les plus crasses de ses interlocuteurs… une démonstration de genou Tchaïkovski….
Alors pour être sûre de pouvoir arriver, elle marche la Louise, elle marche. Parce qu’elle a intérêt à arriver vite. Pour son Charles.
Pour la première fois depuis son premier collier en nouilles de fête des mères, la Louise sourit. Sans le vouloir la petite voix dans sa tête a dit un truc presque drôle : « Dépêche-toi la vieille, Charles attend… »
Alors elle se dépêche en avalant son sourire histoire de redevenir terrorisante.
Voilà, reste à tourner au bout de la rue et hop, elle sera Rue du marché couvert. Pour l’instant le bus 7 la double en klaxonnant histoire d’espérer la remettre à sa place sur le trottoir…
Le Charles, un brave môme, studieux à l’école, jamais un mot pour se plaindre de l’absence du mec parti avant qu’il n’ait eu le temps de savoir dire « Papa »… Après, le parcours d’un brave jeune qui apprend vite un métier pour vite soulager sa mère. CAP de tourneur, la valse des petites annonces, le cousin qui le pistonne pour l’embauche à l’usine. Les collègues qui l’accueillent comme des camarades. Le panneau syndical, le délégué jamais trop loin et finalement l’adhésion.
« Dis la mère, ce soir je rentre plus tard, j’vais au syndicat. »
La Louise qu’est toute fière de son p’tit devenu grand.
Elle regarde sa montre, une vieille Lip du temps où ce que les chefaillons de cfdt ne s’étaient pas encore laissés mettre la main aux fesses par le patronat. Elle devrait être rentrée pour préparer le repas à temps.
La rue à traverser, klaxons, insultes, son majeur qui montre le ciel et le gars sur le perron avec sa carapace et sa sulfateuse sur le ventre qui n’a pas le temps de réagir. Se retrouve comme une tortue sur le dos, le cul dans la haie de berbéris pourpres. Et ça pique…
Une fois chez l’ennemi, comme une brebis au mitan du troupeau, elle reconnaît sans hésitation la voix du Charlie là-bas un peu plus loin.
« Pas la peine de vous déranger, je sais où j’vais ! »
Le policier de l’accueil la suit au cas où…
« Charlie ! Où est Charlie ? »
Elle s’engouffre dans un bureau.
« Alors c’est quoi cette histoire ? Paraît que vous avez arrêté mon Charlie ? »
Le Navarro sort des feuilles de l’imprimante, se la joue shérif des plates plaines, toise la Louise…
« Môssieur distribuait des tracts sans autorisation… »
« [… ]Durant la perquisition, Elodie tente de savoir ce qu’ils cherchent exactement. Les gendarmes évoquent alors la COP21, et une possible manifestation, arguant que tout rassemblement est interdit depuis l’état d’urgence, puis en viennent à parler d’une manifestation à laquelle les deux maraîchers auraient participé il y a trois ans. "Distribution de tracts au péage de Mussidan contre l’aéroport de Notre-Dame-des-Landes, ça vous dit quelque chose ?" auraient demandé l’un des gendarmes au couple un peu sonné. […] » Pauline Ben Ali – France Bleu Périgord 26 novembre 2015 (trouvé sur le site de France bleu).
« Et la liberté d’express… » Le shérif ne laisse pas au militant alpagué la moindre chance de finir sa phrase. Et ça, c’est juste le genre de truc qui peut foutre la Louise en pétard. Mais pour l’instant, elle se récite tous ses mantras de grande gueule qui se retient… « Pas donner dans l’outrage à connard sinon y a risque de 6 mois d’emprisonnement ferme et de 7 500 euros d’amende… » La Louise serre les poings, pas aggraver la situation du p’tiot…
En 2010 ça ferraille contre la réforme des retraites de Sarkozy. Le secrétaire général de l’Union départementale CGT du Rhône - Pierre Coquan - avait organisé une simple distribution de tracts à une barrière de péage de l’autoroute A6. Action somme toute assez courante… Répartis en petits groupes sur les différentes files de passage, une centaine de militants distribuaient des tracts politiques contre la réforme aux usagers de l’autoroute. Pan sur les doigts, Pierre Coquan et Michel Catelin, membre de l’Union locale de Villefranche-sur-Saône, sont poursuivis par l’ajustice, pour ne pas avoir préalablement déclaré cette distribution de tracts en Préfecture. Novembre 2012, le tribunal correctionnel de Villefranche relaxe les deux militants syndicaux, itou la Cour d’appel de Lyon fin janvier 2014. Le 9 février dernier, la Cour de cassation juge qu’une distribution de tracts à plusieurs est assimilable à une manifestation, donc sujette à déclaration préalable, casse la décision de la cour d’appel de Lyon et renvoie les deux militants devant la justice…
« De plus, vous n’aviez aucun papier sur vous… » Le shérif jubile, il va pouvoir afficher un militant à son tableau de chasse, accrocher sa tête dans son salon, arroser l’exploit avec ses collègues, écrire ses mémoires…
« Faudrait peut-être pas vous foutre de nous, vous dites qu’il distribuait des tracts et après vous l’accusez de ne pas avoir de papiers… » La Louise jubile, elle va pouvoir afficher un flic à son tableau de chasse, accrocher sa tête dans son salon à défaut de tête de garde-champêtre, boire un coup avec les frangines du club de bricolage.
Mais faut pas vendre la peau du lourd avant de l’avoir tué. Le poulet se dresse sur ses ergots.
« Vous, la mère, je vous conseille de ne pas vous énerver ! »
La Louise fonce sur le bureau, pose ses mains de bosseuse sans se soucier de tout ce qu’elles froissent…
« Vous, le flic, je vous conseille de ne pas faire de faute de français… Je ne m’énerve pas, VOUS m’énervez ! »
Un ange passe sans que personne ne songe à le plumer…
« Et c’était juste de la liberté d’expr… » Commence à dire le fiston avant un tonitruant « Si tu savais ce que j’en ai à foutre de la liberté d’expression ! »
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« Je suis Charlie ! »
PAR : Bernard
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T’ar taggeurs à la récraie !
ÉDITO DU ML N°1841
Juste parce que c’était bien
A quand le retour des gibets à Salem ?
Civil, deviens un site culturel
La recette du candidat melba...
ÉDITO DU ML N°1840
Ecce homo
Victor Simal est définitivement libre…
Constat
Au pays de la Bible et du fusil.
Lettre à Élise
Souvenir... du présent
ÉDITO DU ML N°1837
Multirécidivistes
ÉDITO DU ML N°1834
Sur mes cahiers de lycéenne, j’écris ton nom… Liberté
A la dérive...
Sur le voile qu’on m’oblige à porter, j’écris ton nom...
161
Machin Machine papier machine
Les Éditions libertaires au pays du soleil levant
Des jeunes... ou plutôt, déjeune avec Zemmour
Justice vraiment aveugle...
Eh bien mes Cauchon ! ...
Pan le piaf, t’es mort !
Texas, ton univers impitoyable.
On se réveille ?
ÉDITO DU ML N°1831
Le truc qu’il fallait éviter
Voilà enfin que...
Miracle
C’est le moment de garder une part de nostalgie
Soldat de dieu, sous ta soutane tu restes un travailleur !
Ne nous faisons pas prier...
Angélique Ionatos
Juste comme ça...
ÉDITO DU ML N°1829
Tout bénef pour Matzneff
Arrêtez les massacres !
Le Monde et l’immonde...
Désaccord d’Evian
ÉDITO DU ML N°1827
Arrête ton char, Dassault !
Le 17
Ne se courber devant aucune autorité, si respectée qu’elle soit ; n’accepter aucun principe, tant qu’il n’est pas établi par la raison.
ça me fout le cafard
Des larmes de sang
Basta Giscard !
Con fini vs confinés
Je ne me donnerai pas la peine de pleurer, je ne me donnerai pas la peine d’avoir peur....
L’Aube a perdu sa dorure...
Rude Nouvelle : David Graeber...
Camarde versus camarade
Inspecteur Labavure...
My dealer is rich…
Des nouvelles du Rojava
Nomination
En pensant à Rajsfus
un 18 juin peut en cacher un autre...
13 juin.
Pollution
Chair à virus !
Copinage éphémère
Cause toujours !...
Pas de chance pour les Pieds Nickelés
Pour "Délation" composez le 17...
Meutre à Béziers
Toussez avec la Poste
c’est la guerre !
Fusion ou confusion ?
Obrigado ?
Au pays de Mickey et Donald
"Contingent rebelle". Rencontre débat à Alès (30)
Les migrants, pions d’un vieux conflit de voisinage
Chadri Sdiri
Surement un sabotage du grand complot !!!
Un ennemi public arrêté cette nuit
... mais il faut que tu t’en ailles
L’amer de glace
La honte !
Pour "les mettre à l’abri" ?
Michelin se dégonfle
Gonflés les gus
Un air de famille
Poul ka couvé zé ba canan, mé yo pa ka alé an dlo ansamn *
Attention, ça va piquer...
Fumée blanche ou fumée noire ?
Sheila, Janet, Lorrane, Rajni...
Trump’ettes de Jericho
Ancien article : Comme un sale goût dans la tronche
Faites-le taire !
Et la retraite on vous la sert comment ? - Surtout pas "à point" !...
Ami étranger, tu es trop nombreux...
Tous les hommes naissent libres et égaux. Sauf les femmes...
propos de haine ordinaire
Avortements et mariages gays légalisés en Irlande du Nord
Madame l’ambassa-triste
La lumière contre l’obscurantisme
Encore une régression sociale !
jusqu’où ?
Avenir irradieux ?
Nigra Safo, le temps d’une rencontre
Génération pénitenciaire
Complètement barge
Acquittée !
état de terrorisme. La bourse aux alibis
Divorce à l’italienne
Un tout petit peu d’air...
Y a vraiment urgence pour les urgences
C’est pour ton bien
Homard m’a tuer
Chansons...
Que le coupable se dénonce ou alors je punis toute la classe !
la reculade
Maréchal, nous voilà...
La réponse qui tue
Résistance pacifique
Un militant dans la tourmente, pour l’exemple.
Les enfoirés du Pirée.
Pour défendre le plombier polonais
Terrorisme légal
Et le Valls a mis le temps...
No comment !
Méfiance
Un réfugié parmi tant d’autres : Le caricaturiste bielorusse Denis Lopatin.
Et une [MA]c[R]onnerie de plus !
Vox populi...
Notre père qui êtes odieux.
Goaaaaal !
Actualité brûlante
Champagne !
Le coupable, c’est 68 !
Tartarin à la récré
Sévice national à l’horizon !
Des paroles, des paroles, des paroles...
stupeur
bruit de vieilles bottes
froid dans le dos
Le Pandraud le l’année
Crosse en l’air !
Tri sélectif des données d’une info...
Obso, l’essence du capitalisme
Castaner : de "castanea", châtaigne
Et avec ça, 3 "pater" et 2 "avé"...
Regardez-les passer...
Big brother is listening you
Les gilets jeunes ?
l’ajustice a encore cogné !
Comme un air de déjà vu
C’est lui qui a commencé
les accros au LBD.
Sur les traces de Ptolémée Macron *
Elle s’appelait Zineb Redouane. Elle avait 80 ans.
Non mais, qui c’est qui commande !
Hausser le thon...
En direct du direct
"I have a dream"
Quand on voit ce qui se passe ailleurs...
appel à ordure
Et ça continue...
« Titi, viens voir ces soldats, ha ha. Ça c’est une armée ! »
Espèce de bachibouzouk
Le Père-Noël est une ordure
Donne-moi ta montre et je te donnerai l’heure
La connitude, ça dégouline...
Y a dix ans, un meurtre
"Zéro de conduite"
Meurtre à Marseille
il ne faut pas laisser les intellectuels jouer avec les éprouvettes
Mad Donald
Y a pas que la banquise qui va fondre...
Electrons, piège à cons
Le salariat, père de tous les vices
Mais on n’apprend pas à un porc à cesser de se gaver. Tant qu’on remet de l’or dans son écuelle d’acier.
Seymourite aigüe
Les sages de La Haye...
Le retour de Bob l’éponge
Message de Colomb aux fachos lyonnais ?
Les coups et les douleurs
BURE
11 novembre à Joyeuse (07)
80 ans, toujours debout...
péripatéticienne de patronyme du père tout puissant !
C’est moi Le Maire, c’est toi Rugy. C’est moi le méchant, c’est toi le gentil...
vade retro, loi de 1905 !
ah, ah ,ah, ah, Pétain de toi !
Un gendarme au lycée
Expulsée
Départ vers le passé
Tristesse et colère
cherchez le militaire
Mon oncle un fameux bricoleur
C’est Bysance !
Quand passent les faisans
Fuel legal racket
La retraite sent le roussi
Kanaky, année zéro ?
Proposition de loi LR contre les black blocs adoptée au sénat
On nous ment !
Fidel à lui-même
Caché ce mot que je ne saurais croire
mort d’un journaliste
insoumis, soumets-toi !
Fo pas exagérer !
Fausse joie
"Oh, pétard !"
FO ce qui FO
Une valse à quatre sortants, comme c’est charmant, une valse à quatre sortants...
les brèves. "Ze retour"
Hidalgo parle de toits
Réquisition d’une maison pour loger les personnes sans-toit
à l’extrème droite, sur la photo de famille...
La mac(r)onnerie du jour
казакһстан
L’habit ne fait pas le moine
Happy Good Year ?
Flamanville, de la fuite dans les idées.
Collomb, top gone ?
La mémoire qui flanche
Beurk !
balle dans le pied
Laissez venir à moi...
Lasso de plomb
Bonne récupération
allez, vole petit zoziau !
Maîtresse, il m’a traîté !
Tu me prêtes ta femme ?
Quand le Collomb roucoule
Pour les Collombophiles
Les Consigny ça osent tout
Budget
Le temps de prendre l’air
Campion l’immonde
Le juste prix
hommes en blanc...
C’est le tango des bouchers de la Villette
Fake macronnesque
Pas fake
Fermez des écoles, vous ouvrirez des prisons !
Nuit à l’Assemblée
info incomplète
Ni Depardieu ni maître
LREM lave plus blanc
fausse joie
"je vois ! "
Corées graphies
A table
Fallait y penser avant !
ein BZV
verdict
C3H8NO5P
le vrai verdict
no fake
fake
une ex "prisonnière ultra médiatisée" favorable à l’emprisonnement de 2 journalistes d’investigation
Débranche !
Affaire Maurice Audin
Foutage de gueule
Le palais est trop bon avec les pauvres
Casse-toi Le Pen !
Manu 1er, petit frère des pauvres...
descente infernale
ça c’est rapé !
On leur fera payer l’addition
ça gaze !
Attaque sur la ZAD alsacienne
Un château en Suède
Déluge de bombes amorcé en Syrie
La musique qui marche au pas...
T’ar ton handicap à la récré
nedlagd ! *
les temps changent...
On s’en fout
De quoi se réjouir
Répression ou représailles ?
Brésil, campagne électorale à couteaux tirés
Dialogue social plombé en Irak
Non à l’Europe, oui à son fric
ça chauffe pour lui
Trump pas content
Décision historique
Naufragé.e.s
"Vénus noire", quel mec !
Libre choix ?
Re(ma)niement ministériel
Le permis de chasse, ça coûte un bras !
T’ar ta gueule à la mi-temps !
Le tri des ordures
l’Homme, nombril de l’univers ou trouduc intergalactique ?
L’anarchie, une amie de cinquante ans
Toujours plus haut
victimes
Louis l’anARTIste
En avant, marche !
Les habits neufs du châtelain
La propriété c’est le bol
pas la frite
on the road again
Comme un sale goût dans la tronche
Autour d’une pizza
Repas gaché
le fugitif
Ogres de barbarie
Caumare
La musique qui marche au pas...
Fermez des écoles, vous ouvrirez des prisons
Marée bleue sur la ZAD
comme une journée sans pain
49.3 nuances de gré
Choisis ton camp, camarade !
Bébert le bousier
l’argent n’a pas d’honneur
"Ecce homo ! "
Education Nationale : une porte ouverte sur l’Armée
État de terrorisme
Terrorisme d’Etat
L’noisavé
Alors, rat... compte !
C’est pour ton bien
Usine d’aliénés
Prédateur Social
Fourrière pour tous
Maudits codes-barres
Troisième démarque
11 novembre 2015, intervention à Joyeuse (Thème « exodes »)
Nigra Safo, le temps d’une rencontre
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