La pédagogie de Freinet et ses outils, ont été créés dans le but d'adapter l'apprentissage aux élèves en favorisant des accès pour leur recherche et expression créative dans un cadre d'accompagnement vers l'indépendance. Tout cela dans le respect du rythme de chacun.

Depuis le début des années 80, ces "méthodes pédagogiques" qui n'en sont pas du fait de leur subjectivité ; ont été mises au rendement du temps. Qui peut s'interpréter par plus d'apprentissages objectifs (d'une qualité régressive depuis 20 ans) sur une durée optimale contraignante, "contenant" de plus en plus d'élèves face à "de mois en moins" d'éducateurs dans le domaine scolaire, culturel, social ou autres.

Les machines si conventionnelles aujourd'hui, les trentenaires que sont nos très chers ordinateurs personnels, microprocesseurs et téléphones portables. Ces dernières sont les éducateurs des enfants d'aujourd'hui et les maîtres des esclaves de demain. L'audiovisuel peut pourtant être un soutien, hors peut importe les acquits de compétences en fin d'année, l'élève caractérisé comme étant "moyen" passera dans la classe supérieur.

Comment peut on espérer qu'un esprit relationnel renaisse si nous sommes éduqué par les machines ? Le relationnel se voit réduit à l'information elle-même réduite par des programmes de formatage rationalistes. La vie sociale de proximité meurt dans l'ombre de la supervisassions des industries oligarchiques qui s'occupent "de nous pour tout et de tout pour nous". Et notre vie relationnelle dépérit de part notre recherche de rationalisme objectif qui découle de notre éducation.

La subjectivité de l'Homme, des animaux et aujourd'hui des végétaux est broyée dans les mécanismes aux normes modifiées que nous entretenons et subissons.

Les bases définissent notre cadre de vie, plus riche elle seront l'origine d'une ouverture d'esprit créative, ou au contraire elles nous contraindrons à nous soumettre à ce système macro-visionnaire.


Entre chiens et loups, continuons à nous secouer les puces !