Amis attention !
Cela complique notre travail et nous interdit certaines initiatives. Mais le péril n'est pas là. Il est dans la disproportion entre le coût de l'impression et les rentrées des ventes. On le sait, malgré les rentrées régulières des abonnements, nous aurions dû renoncer sans l'apport des souscriptions.
Vous n'y pensez pas tous. C'est à nous de vous le dire et de vous le rappeler sans cesse.
Si chaque abonné et chaque lecteur pensaient seulement deux ou trois fois par an à nous envoyer un mandat - ne fût-ce que 200 ou 300 francs - tout irait mieux. Le jour où vous avez renoncé à une séance de cinéma, par exemple, pensez à nous envoyer sans histoires l'économie que vous avez faite. Il n'en faut pas plus si tous ceux qui le peuvent le font.