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Vie du journal
par Bernard pour le CRML • le 29 novembre 2020
ÉDITO DU ML N°1823
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Bienvenue dans ce Nouveau Monde... libertaire. Notre copain Baalbeck passe le relais pour la maquette. Il avait pris cette responsabilité dans l’urgence, découvrant tout, domptant la bestiole pour permettre au Monde libertaire papier de poursuivre sa route. Merci à toi compagnon.
Merci et chapeau bas. Pour la suite, bienvenue à Philippe qui met son savoir-faire de pro au service du journal.
Bienvenue dans un monde de plus en plus sécuritaire.
Mais ne nous trompons pas, ce n’est pas la faute de l’État tueur de libertés à gage ou du capitalisme son commanditaire... non, c’est la faute du pangolin.
À raisons sanitaires évidentes, l’État répond par toujours plus de lois, contraintes, ordres, contre-ordres, amendes. Tu veux aller manger avec deux, trois potes dans un petit restau à la sécurité réfléchie : pas bien ! Le môme du serveur sans boulot fait la queue au self de son bahut : bien ! Tu veux aller boire un pot avec tes collègues d’atelier au bistrot du coin : pas bien ! Tu turbines au boulot à côté de tes collègues : bien ! Pas content, tu vas dans une manif et prends en photo des flics qui s’acharnent sur un.e manifestant.e au sol : pas bien. L’État veut t’interdire de prendre ces photos : bien !
Finalement non, souhaitons la malvenue à cet avenir qu’on souhaite nous imposer.
« Heureusement que mes canaris sont en cage. Les libérer ?... Vous n’y pensez pas, ils n’ont connu que la captivité. » C’est ça l’avenir serein que l’on souhaite aux futures générations ?
Alors retroussons-nous les manches, arrêtons de déléguer la résistance à d’autres. L’État, par média interposés, nous endort avec ses discours. Détroussons le marchand de sable et à chacun ses grains de sable pour bloquer ce système.
Un dernier mot pour les camarades du groupe de Metz.
La grande faucheuse vous/nous a fait un sale coup en vous/nous privant de Pierre. C’était un mec qui...
À vous la suite...
Merci et chapeau bas. Pour la suite, bienvenue à Philippe qui met son savoir-faire de pro au service du journal.
Bienvenue dans un monde de plus en plus sécuritaire.
Mais ne nous trompons pas, ce n’est pas la faute de l’État tueur de libertés à gage ou du capitalisme son commanditaire... non, c’est la faute du pangolin.
À raisons sanitaires évidentes, l’État répond par toujours plus de lois, contraintes, ordres, contre-ordres, amendes. Tu veux aller manger avec deux, trois potes dans un petit restau à la sécurité réfléchie : pas bien ! Le môme du serveur sans boulot fait la queue au self de son bahut : bien ! Tu veux aller boire un pot avec tes collègues d’atelier au bistrot du coin : pas bien ! Tu turbines au boulot à côté de tes collègues : bien ! Pas content, tu vas dans une manif et prends en photo des flics qui s’acharnent sur un.e manifestant.e au sol : pas bien. L’État veut t’interdire de prendre ces photos : bien !
Finalement non, souhaitons la malvenue à cet avenir qu’on souhaite nous imposer.
« Heureusement que mes canaris sont en cage. Les libérer ?... Vous n’y pensez pas, ils n’ont connu que la captivité. » C’est ça l’avenir serein que l’on souhaite aux futures générations ?
Alors retroussons-nous les manches, arrêtons de déléguer la résistance à d’autres. L’État, par média interposés, nous endort avec ses discours. Détroussons le marchand de sable et à chacun ses grains de sable pour bloquer ce système.
Un dernier mot pour les camarades du groupe de Metz.
La grande faucheuse vous/nous a fait un sale coup en vous/nous privant de Pierre. C’était un mec qui...
À vous la suite...
PAR : Bernard pour le CRML
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1 |
le 1 décembre 2020 18:47:22 par Luisa |
Extrait d’un sketch de Coluche :
Un flic s’approche d’un passant et lui demande :
« - Qu’est-ce que tu penses de la situation ?
- La même chose que vous Monsieur le policier !
Alors, le flic lui répond : - alors je t’arrête ! »