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par Evelyne Trân le 18 mai 2020

5e partie des entretiens à bâtons rompus de Patrick KIPPER

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avec Jérémie Jeandidier et le concours de Fabien Roland et Evelyne Trân.

Dès le début des années 70, un groupe de la Fédération anarchiste s’est créé à Sevran. Il était répertorié comme le groupe Sevran Bondy de la Fédération anarchiste. Je décide de contacter ce groupe pour éventuellement y rentrer si ça me plait et si ça leur plait. Il faut savoir qu’on n’entre pas dans un groupe de la Fédération anarchiste comme dans un parti politique. Il ne s’agit pas de payer la cotisation, il faut être accepté par le groupe. Et c’est réciproque.

Je contacte le groupe. Ils me donnent un rendez-vous à Bondy au centre Alpha où le groupe se réunissait tous les vendredis.
Je participe à une réunion où je me présente et je fais une demande d’adhésion. Le groupe accepte mon entrée dans le groupe en me disant “tu verras si les activités qu’on a dans le groupe te conviennent”. Je reviens ce soir-là avec José Bolufer qui habite Sevran.
Il habite dans le quartier Perrin chez ses parents espagnols. Il est étudiant. Il va devenir l’un des secrétaires nationaux de la Fédération anarchiste. Je vais rester en contact avec lui. Actuellement, c’est le directeur administratif du journal Le Monde, le grand patron de tout l’informatique du journal Le Monde.
C’est lui qui me ramène. Je rentre dans le groupe Sevran Bondy de la Fédération anarchiste et commence à avoir une activité au sein du groupe, une activité militante.

Le Monde Libertaire où j’étais abonné, je vais le vendre. On le vend tous les samedis matin sur le marché de Sevran, le vendredi soir à la gare du nord et le dimanche matin sur le marché de Bondy.
On colle les affiches, on distribue les tracts, on se réunit. On organise des réunions publiques. C’est la vie du groupe Sevran Bondy qui va durer une petite dizaine d’années. On est une douzaine avec la particularité d’avoir 3 médecins dans le groupe.
Peu de filles. On a tout le temps une fille, jamais plus.
Bien sûr, je commence à avoir mes idées que je propose dès mon entrée dans le groupe. Au bout de 2 ans je vais être le secrétaire du groupe et je propose à la fin d’année de faire un petit gala en faisant venir des chanteurs à l’occasion. Je ne connais personne, je ne connais aucun artiste. Y’a ceux que je vais voir mais je ne connais absolument personne. On fait un premier gala. Je décide de demander à Maurice Laisant qui est un personnage très important de l’anarchisme.




Il était secrétaire général de l’organisation, une personnalité. Il était aussi poète et écrivait des chansons. Je lui demande s’il ne connait pas des artistes pour deux ou trois galas et il me répond “J’ai deux copains qui sont vraiment bien, bon c’est pas des vedettes”. C’est le duo Eglin et Robin.




On fait un premier gala avec Eglin et Robin. J’ai conservé un lien avec Marcel Eglin depuis les années 70. On se voit toujours, je l’ai fait encore chanter l’année dernière. Il a près de 80 ans.
Donc je leur ai fait faire un gros gala pour la Fédération anarchiste. C’était les deux jours de Radio Libertaire à l’espace Baltard.C’était un très grand lieu. Le gala s’est déroulé un week-end en Île de France avec 40 chanteurs et chanteuses. C’était le samedi après-midi et le dimanche après-midi, de 14 heures à 23 heures, les deux jours. Eglin et Robin, je les ai fait passer en début de programme le samedi.
Après chaque année, on va continuer. Serge Utgé Royo est le deuxième chanteur que je vais faire venir pour un gala. A l’époque il habitait Bordeaux.




En même temps, je vais travailler un peu avec les copains d’Île de France pour continuer à produire des galas plus importants sur la région parisienne.
A la même époque, je suis rentré chez l’Oréal comme intérimaire pendant 2 ans. En 1970, la boîte de jouets était en train de dégringoler et prête à faire faillite. J’ai été embauché le 1er mai 1972. Et Je suis rentré à la CGT de l’Oréal, j’ai été délégué du personnel rapidement. Je n’étais pas vraiment partisan de la CGT communiste de l’époque. Mais par contre j’étais syndicaliste. Après je suis rentré au comité d’établissement. Je me suis aperçu que le comité d’établissement ne possédait ni de commission culturelle, ni de bibliothèque.
Alors j’ai décidé de créer la commission culturelle et la bibliothèque.
J’ai développé une activité culturelle qui n’existait pas au sein de l’entreprise en recevant chaque mois des écrivains, des comédiens, des comédiennes, des plasticiens, des peintres et bien sûr c’est ma manie, des chanteurs.

J’ai commencé à faire venir ces derniers, le midi en organisant entre midi et 14 heures des rencontres. Ce n’était pas facile à organiser. J’ai débuté avec les gens que je connaissais bien. Marcel Eglin est venu chanter. J’en ai fait venir quelques-uns par an. Dans les années 70, je deviens un organisateur de spectacles de façon militante dans le comité d’entreprise comme on pouvait le faire et puis au sein de la fédération anarchiste, au sein de mon groupe et au sein de la fédération au niveau de l’Île de France.

…/…

Toutes les années 70 se déroulent comme ça. Je commence à connaître à beaucoup de chanteurs. Au début des années 80 se passe un évènement très important : la création de Radio Libertaire. C’est la radio de la Fédération anarchiste qui est décidée à l’occasion d’un congrès de la Fédération anarchiste auquel je participe.
On est 250 délégués qui décident de la création de la radio, l’une des toutes premières radios. On a commencé de façon pirate alors que c’était interdit. On émet comme ça de façon pirate.
On dépose les demandes. En 1981, Radio Libertaire est créé. C’est Joël Jacky Julien, adhérent individuel à la fédération qui a déposé le projet auprès du congrès. C’est vraiment la cheville ouvrière de la radio.
A l’époque, il y a plein de radios associatives qui se montaient partout. Julien veut que ce soit une radio de la Fédération anarchiste, il est à l’origine du projet. Il le fait adopter par la fédération et ça devient la radio de la Fédération anarchiste à partir de 1981.
Au début, je n’ai pas un investissement particulier. Je suis un militant mais je ne m’implique pas dans la radio. Déjà, je ne me crois pas capable de parler au micro longtemps. Cela ne fait pas partie de mes activités. Par contre, je suis ça de très près. Je reste très militant comme ça et très occupé.
A cette époque, je rencontre Jacques Roussel.




Il va devenir le trésorier de Mots et Musiques qui va se créer quelques années après. C’est surtout un ami. Il a eu un parcours un peu semblable au mien. Il est divorcé, il a eu un garçon.
Il est encore plus fou de chansons que moi. Il veut consacrer toute sa vie à la chanson. Il a quitté son travail. Il n’a pas le côté politique, lui c’est la chanson. Il vit même dans des conditions financières compliquées. C’est un choix qu’il a fait.

Grâce à cette rencontre, je vais commencer à avoir l’idée d’organiser des spectacles de chansons. Au début des années 80, il n’y a plus de cabarets, ils se sont éteints progressivement pendant les années 70. La chanson de paroles quand elle n’est pas portée par quelqu’un d’extrêmement connu, elle n’a aucune place.
On a fait un très gros gala au milieu des années 80 avec Bernard Lavilliers pour la Fédération anarchiste. Un gala de soutien.




On avait vraiment besoin d’argent. On devait quitter la rue Ternaux où était la librairie locale. Il fallait qu’on s’installe ailleurs, Lavilliers a fait un gala de soutien. On lui a demandé, il a accepté. On l’a monté. On a loué le chapiteau Pinder Jean Richard qui à l’époque était à Pantin. C’était archi archi plein. On a même refusé du monde. Y’avait même tellement de monde, qu’on avait demandé l’autorisation, à la direction de la RATP le métro, de mettre des panneaux dans le métro en disant qu’il ne fallait pas rejoindre le gala car c’était complet. Et ça a encore ramené plus de monde, 2500 personnes qui sont venues voir.
Le gala avec Lavilliers, ça a aidé à acheter le local rue Amelot au 145 rue Amelot où on est aujourd’hui. On y est maintenant depuis plus de 30 ans.

En 1991, je quitte l’Oréal et décide de faire de l’organisation de spectacles mon métier. Je vais chercher des endroits pour organiser mon premier concert. Je connais un peu les milieux des théâtres parisiens. Je cherche un théâtre de 100 à 200 places. Plutôt 100 que 200 d’ailleurs.
Je vais m’arrêter au Cithéa où je vais faire mon premier concert personnel en dehors de la militance. Mais je serai toujours proche des libertaires. C’est avec Serge Utgé Royo que je fais ce premier concert. J’ai la chance qu’il marche vraiment très bien. La salle est pleine, plus que pleine. Y’a la scène qui est pleine de monde.
Ce qui crée un petit accident avec le guitariste Jean-Pierre Malmedier qui rentre en scène. Il retourne tout de suite dans la coulisse “On ne peut entrer en scène, il y a plein de monde sur la scène”.
Serge était au courant mais apparemment il ne l’avait pas dit à son musicien. Serge l’a renvoyé sur scène en lui disant « C’est pas grave ».
PAR : Evelyne Trân
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